« Vivarium », un film de Lorcan Finnegan

Mercredi 15 juillet  2020. Madiana V.O.

Lorcan Finnegan – Irlande, Belgique, USA – 2020 – 1h38
Avec Jesse Eisenberg, Imogen Poots, Jonathan Aris

Synopsis :

À la recherche de leur première maison, un jeune couple effectue une visite en compagnie d’un mystérieux agent immobilier et se retrouve pris au piège dans un étrange lotissement…Pour Vivarium, l’aventure a commencé à Cannes. Projeté lors de la Semaine international de la critique en 2019, le film a remporté le Prix Fondation Gan à la Diffusion. Son réalisateur, l’Irlandais Lorcan Finnegan, a, depuis, fait le tour des festivals pour le grand bonheur du public. Ce long-métrage, son deuxième, raconte l’histoire d’un jeune couple, interprété par les talentueux Imogen Poots et Jesse Eisenberg, qui va se tourner vers une mystérieuse agence immobilière pour trouver la maison de leurs rêves. Arrivés sur place, ils découvrent un étrange lotissement, dans lequel ils ne trouveront aucune issue. Singulier, inquiétant, drôle aussi, Vivarium pourrait être un long (et bon) épisode de La Quatrième dimension.

La presse en parle :

Le Point par Marc Godin
À l’arrivée, Vivarium est une incroyable réussite, un cauchemar pavillonnaire implacable, bourré de surprises démentes, de rebondissements ahurissants et de quelques moments de pure terreur.

Ouest France par Thierry Chèze
Par le prisme de la science-fiction, Vivarium raconte brillamment les angoisses des trentenaires.

Bande à part par Olivier Pélisson
Bienvenue dans la dystopie brillante de Lorcan Finnegan, miroir grossissant de notre société du conformisme consumériste.

CNews par La rédaction
Une ambiance glaçante pour un huis clos qui terrifie.

Culturopoing.com par Sophie Yavari
Avec « Vivarium », Lorcan Finnegan invite son spectateur à un voyage sans promesse de retour et parvient à mettre le fantastique au service d’une fable terriblement dérangeante.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Le réalisateur irlandais dit avoir été visuellement inspiré par une série de tableaux de Magritte, L’Empire des lumières. Mais c’est à l’esthétique des tableaux d’Edward Hopper que l’on songe, leurs décors avec de larges à-plats de couleurs, leurs compositions géométriques simples, leurs personnages enfermés dans leur solitude.

Ecran Large par Geoffrey Crété
Malin, cruel et ludique, « Vivarium » est un conte horrifique vertigineux, qui offre quelques belles raisons de cauchemarder. Un digne héritier de « La Quatrième Dimension », qui place directement Lorcan Finnegan parmi les réalisateurs à suivre.

Femme Actuelle par Sabrina Nadjar
Le scénario rappelle le style de la série La Quatrième Dimension, habile à susciter la peur avec peu d’effets. Une réussite.

L’Ecran Fantastique par Ava Cahen
[un] film de genre qui obsède longtemps encore après sa vision.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Le réalisateur irlandais dit avoir été visuellement inspiré par une série de tableaux de Magritte, L’Empire des lumières. Mais c’est à l’esthétique des tableaux d’Edward Hopper que l’on songe, leurs décors avec de larges à-plats de couleurs, leurs compositions géométriques simples, leurs personnages enfermés dans leur solitude.

Le Figaro par La Rédaction
Il y a du Beckett en banlieue, du Cioran en pavillon dans Vivarium, mélange d’humour noir et de terreur fantastique. Le coronavirus n’a rien à voir là-dedans. L’existence humaine est la plus implacable des pandémies.

Le Journal du Dimanche par Barbara Théate
À l’image d’un épisode de « La Quatrième Dimension » ou de son héritier « Black Mirror », le cauchemar des deux personnages prend des allures de fable cruelle et un brin horrifique où le fantastique, l’absurde et l’irrationnel se mêlent pour pointer du doigt les travers de nos sociétés matérialistes et ultra-consuméristes.

Le Nouvel Observateur par Nicolas Schaller
C’est une fable sur les injonctions de la vie domestique dans nos sociétés standardisées. Le type de film-concept dont l’argument, digne d’un épisode de « la Quatrième Dimension », ne supporte généralement pas la durée d’un long-métrage. Là, si.

L’Humanité
par Vincent Ostria
La mise en scène rigoureuse, le scénario bien écrit et les acteurs impeccables concourent à la réussite de ce film fantastique drôle et astucieux.

Mad Movies
par Cédric Delelée
La grande force de « Vivarium » est d’adopter un point de départ à la « Quatrième dimension » qui laisse craindre le symptôme du court-métrage-étiré-en-long, puis de contourner cet écueil en proposant une montée paranoïaque qui doit beaucoup à la série « Le Prisonnier ».

Marie Claire par Vincent Cocquebert
« Vivarium » est un film-concept ludique et effrayant sur la façon dont nos pulsions de singularité finissent inévitablement par échouer sur les rives de nos existences normatives.

Sud Ouest par Sophie Avon
De cette réclusion, le cinéaste Lorcan Finnegan tire une fable abstraite, impitoyable, effrayante. Entre deux rires qui deviennent des grimaces de terreur, on y contemple nos propres vies…

Télé Loisirs par Thomas Colpaert
Un thriller très prenant […] servi par une magnifique mise en scène, à la fois clinique et ultracolorée.

Télérama par Marie Sauvion
Un jeune couple se retrouve pris au piège d’un lotissement pimpant mais cauchemardesque. L’art de rendre le banal terrifiant.