Lundi 1er février – 20h30 — Mardi 2 février – 20h30 — Vendredi 12 février – 20h30. Salle Frantz Fanon
Avec Antonio de la Torre, Belén Cuesta, Vicente Vergara
Nationalités Espagnol, Français
28 octobre 2020 / 2h 27min / Drame
Synopsis :
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Espagne, 1936. Higinio, partisan républicain, voit sa vie menacée par l’arrivée des troupes franquistes. Avec l’aide de sa femme Rosa, il décide de se cacher dans leur propre maison. La crainte des représailles et l’amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre condamnent le couple à la captivité.
La presse en parle :
Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Inspiré de faits réels, ce long métrage d’une incroyable intensité dévoile une facette mal connue de l’histoire du franquisme.
Ouest France par Thibault Liessi
Malgré ses longueurs, ce huis-clos se révèle aussi passionnant dans son questionnement sur ce que signifie être résistant que sur les dommages collatéraux de ce comportement sur une famille unie.
Femme Actuelle par Sabrina Nadjar
Totalement surréaliste, et pourtant authentique, cette histoire tient à la fois du thriller intimiste du document historique et du drame psychologique.
Le Figaro par Eric Neuhoff
Cette chronique d’un enfermement, qui se déroule sur trente ans, explore tous les sentiments avec une noirceur glaçante de réalité.
Le Nouvel Observateur par François Forestier
Le film est long, austère et terriblement émouvant. Il passe, dans ces images, une certitude : l’amour est plus fort que la nuit. Le personnage de Rosa (Belén Cuesta), femme déchirée, est inoubliable.
Les Fiches du Cinéma par Michaël Ghennam
En s’inspirant de faits réels, le trio Arregi / Garaño / Goneaga livre une subtile réflexion politique, mais aussi et surtout une très belle histoire d’amour.
Les Inrockuptibles par Ludovic Béot
Adaptée de l’histoire vraie hallucinante d’une “taupe” sous Franco, « Une vie secrète » parvient habilement à joindre la matière théorique de son argument à ce grand geste romanesque qu’est de raconter une vie qui passe.
Libération par Sandra Onana
L’enjeu pathétique, admirablement développé, se situe là : tirant vers le versant sédentaire du survival au suspense de plus en plus croupi, le film a la singularité de placer en son centre la relation gâchée du couple, otage de cette coexistence immobile.