Samedi 26 octobre à 21h sur France 4
Par Robert Guédiguian, Gilles Taurand
Avec Stéphane Bak, Alicia Da Luz Gomes, Saabo Balde
5 janvier 2022 en salle | 2h 09min | Drame, Historique
Synopsis :
1962. Le Mali goûte son indépendance fraîchement acquise et la jeunesse de Bamako danse des nuits entières sur le twist venu de France et d’Amérique. Samba, le fils d’un riche commerçant, vit corps et âme l’idéal révolutionnaire : il parcourt le pays pour expliquer aux paysans les vertus du socialisme. C’est là, en pays bambara, que surgit Lara, une jeune fille mariée de force, dont la beauté et la détermination bouleversent Samba. Samba et Lara savent leur amour menacé. Mais ils espèrent que, pour eux comme pour le Mali, le ciel s’éclaircira…
La presse en parle :
L’Humanité par Marie-José Sirach
Derrière cette trame historique, cette piqûre de rappel d’un moment clé pour l’Afrique où toutes les utopies étaient à l’œuvre et ouvraient tous les champs des possibles, on sent poindre chez Robert Guédiguian une once de mélancolie devant un rêve, le socialisme, stoppé net dans son élan.
Voici par La Rédaction
Une tragédie lumineuse.
20 Minutes par Caroline Vié
Ce film à la fois beau, généreux, mais douloureux, interroge sur l’échec du socialisme.
Bande à part par Isabelle Danel
Guédiguian raconte avec cœur le Mali des années 1960, le rêve socialiste, la jeunesse et la liberté.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Robert Guédiguian raconte avec brio et mélancolie la révolution et la liberté aux lendemains de l’indépendance du Mali en 1960.
Femme Actuelle par La Rédaction
Les facettes légères du récit (couleurs, musique, romantisme…) font ressortir le poids de l’Histoire.
L’Obs par Xavier Leherpeur
Un récit exalté et lucide, emporté par une mise en scène qui épouse le mouvement de son héros, ivre de jeunesse et d’absolu.
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Robert Guédiguian est un cinéaste du bien commun qui secoue nos égoïsmes forcenés. Robert Guédiguian est aussi un cinéaste politique qui nous oblige à une certaine conscience politique. Il n’y a qu’à voir Twist à Bamako , si loin, si proche : Robert Guédiguian parle du Mali mais de la France.
Le Parisien par La Rédaction
Un film grave sur une brève période de lumière et de légèreté : le début du rock’n’roll au Mali — on entend Boubacar Traoré, le Elvis local, en fond sonore — et d’un communisme africain généreux avant de se fossiliser très vite dans la dictature et la caricature, sans parler de l’islamisme intégriste qui sévit aujourd’hui.
Les Echos par Olivier De Bruyn
Le cinéaste de « Marius et Jeannette » quitte provisoirement la France pour mettre en scène le Mali de 1962 et de jeunes révolutionnaires idéalistes. Un pari gagnant.