— Par Myrna Nérovique —
L’antre de mon bonheur,
M’intime cette tiédeur.
L’amour à la Sardou,
Te rend doucement fou.
La vie me semble impossible,
Dans mes passions où tout drible.
La bonté de mes yeux doux,
S’irrite de l’immensité du roux.
La rigueur de nos ardeurs,
Fane allègrement ces fleurs.
Je t’aimerai toujours à la folie,
Dieu le sait, comme le dit Sophie.
Myrna Nérovique