Jeudi 19/11/21 à 19h15 — Vendredi 20/11/21 à 13h30 — Madiana
De Alan Taylor
Par David Chase, Lawrence Konner
Avec Alessandro Nivola, Leslie Odom Jr., Vera Farmiga
Titre original The Many Saints Of Newark
Synopsis :
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Avant d’être une légende du crime, Tony Soprano a fait ses gammes auprès de son oncle, Dickie Moltisanti. Dans un contexte explosif de guerre des gangs, cet intraitable parrain a ouvert les portes de la mafia à son neveu.
La presse en parle :
CinemaTeaser par Emmanuelle Spadacenta
C’est un plaisir de fiction, un plaisir de fan (avant tout) et surtout un éclatant film de gangsters, un vrai.
Le Journal du Dimanche par R.N.
S’il ne renouvelle pas le genre du film de mafia, Many Saints of Newark est une éclatante réussite pour ce qui est d’étendre l’univers de l’extraordinaire série Les Soprano, quatorze ans après sa conclusion.
Les Fiches du Cinéma par Michael Ghennam
Le grand David Chase revisite sa série culte, Les Soprano, avec ce prequel aussi intelligent que nuancé et habité par ses comédiens.
Ouest France par La Rédaction
Un film splendide où Michael Gandolfini reprend avec superbe le rôle mythique créé par son père.
Première par Frédéric Foubert
On dira de Many Saints of Newark qu’il n’est rien de plus qu’un long « special » des Soprano. Rien de plus, peut-être, mais surtout rien de moins.
Rolling Stone par Xavier Bonnet
En évitant tous les écueils qui pouvaient se présenter à lui, c’est finalement à nous que Many Saints… tend un piège : une envie quasi irrépressible de se (re)fader sans tarder celle qu’aujourd’hui nombreux sont encore ceux à considérer comme la meilleure série TV de tous les temps. Trop fort, ce David Chase !
Voici par La Rédaction
Un très honnête film de mafia !
Ecran Large par Arnold Petit
Many Saints of Newark comblera les fans des Soprano avec les personnages de la série et en reprenant certains éléments qui ont fait sa réussite dans un long-métrage qui s’apparente à une extension dispensable. Les autres, en revanche, devront se contenter d’un film de gangsters décousu et assez quelconque, mais plutôt efficace.
Le Figaro par Olivier Delcroix
Tensions raciales, fusillades nocturnes, meurtres pulsionnels, la grande famille de la mafia italienne de Newark apparaît comme une bande de truands assoiffée d’argent, le tout observé par le jeune Tony. Dur mais très efficace.
Le Monde par Murielle Joudet
La préquelle de la série ne parvient pas à se hisser à la hauteur du chef-d’oeuvre télévisuel.
Le Nouvel Observateur par Amandine Schmitt
Certaines intrigues sont à la peine, mais un mystère crucial de la série est résolu, et les acteurs sont excellents (épatante Vera Farmiga en matriarche revêche). Et voir Michael Gandolfini reprendre le rôle inoubliable de mafieux torturé jadis interprété par son père a quelque chose d’hypnotisant.
Le Parisien par Catherine Balle
En réalité, c’est par excès de zèle que « Many Saints of Newark » pêche un peu. À force de vouloir coller à la série, les acteurs ont l’air de singer leurs modèles : ils fument trop, mangent trop de mortadelle, ont des voix trop rauques. Malgré ces caricatures, le plaisir nostalgique fonctionne.
Les Inrockuptibles par Théo Ribeton
On navigue en eaux troubles, quelque part entre un ersatz de The Irishman et le prequel de La Vérité si je mens.
Cahiers du Cinéma par Raphaël Nieuwjaer
L’enchaînement de scènes brèves, parfois sans autre consistance qu’un bon mot, relève aussi largement de l’écriture sérielle, mais sans ce qui en fait la beauté – l’inscription dans l’ordinaire des existences et la longue durée. En voulant donner une jeunesse à tant de figures connues, Many Saints of Newark se mord la queue.