Mardi 19 janvier – 20h30. Salle Frantz Fanon.
Avec Inna Modja
Nationalité britannique
1h 32min / Documentaire
Synopsis
The great green wall est Le projet ambitieux de faire pousser un mur d’arbres de 8 000 km s’étendant du Sénégal à l’Ethiopie. Cette ceinture doit lutter contre la désertification progressive de la région due aux changements climatiques mais également d’éviter les conflits croissants et les migrations massives. La musicienne malienne Inna Modja nous accompagne dans ce voyage musico-écologique le long de cette grande muraille verte et nous aide à comprendre ce qui n’est plus uniquement un enjeu africain mais mondial !
La presse en parle :
Télérama par Mathilde Blottière
Mais l’optimisme reste de mise : loin des clichés misérabilistes, le film révèle un continent (et une jeunesse connectée) qui rêve de prendre son destin en main en luttant contre un problème mondial.
aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
Un magnifique voyage dans ces espaces magnifiques de l’Afrique centrale, à travers un initiative écologique ambitieuse. Mais le film est équivoque : s’agit-il véritablement d’un documentaire sur un projet de reboisement ou d’une promotion de l’œuvre de la chanteuse Inna Modja ?
Première par Thierry Cheze
Il y a dix idées de documentaires possibles dans ce film où on passe son temps à survoler au lieu de creuser. Le tout desservi par une mise en images obsédée par une joliesse qui finit par gêner l’écoute.
Les Fiches du Cinéma par Gilles Tourman
Un documentaire revigorant, et que les enjeux exposés rendent incontournable.
Rolling Stone par Loraine Adam
Ce film est un voyage musico-écologique particulièrement bouleversant.
Senscritique :
On apprend énormément sur ce projet hors norme, dont les changements climatiques ne sont pas les seules causes. En effet, il faut ajouter à cela les conflits armés liés à Boko Haram, les conflits liés aux famines, les migrations, … La grande muraille est un vecteur d’espoir pour la nouvelle génération et on se réjouit de les voir autant s’impliquer….
Seul soucis (et pas des moindre) avec ce documentaire, c’est que l’on a l’impression que Jared P. Scott a confondu « documentaire écologique » et « promotion d’une chanteuse » tant le film aligne jusqu’à n’en plus finir, les clips musicaux, les captations de concerts et autres séances d’enregistrement à la gloire d’Inna Modja. Si bien que l’on a constamment la désagréable impression de s’être trompé de film.