À Madiana. Séances Mardi 15 juin 14h00 & 17h00 — Mercredi 16 juin 17h15 VF 😈
Par Florian Zeller, Christopher Hampton
Avec Anthony Hopkins, Olivia Colman, Mark Gatiss
Synopsis :
Anthony est retraité. Il vit seul dans son appartement de Londres et refuse toutes les aides-soignantes que sa fille, Anne, tente de lui imposer. Cette dernière y voit une nécessité d’autant plus grande qu’elle ne pourra plus passer le voir tous les jours : elle a en effet pris la décision de partir vivre à Paris pour s’installer avec l’homme qu’elle vient de rencontrer…
Mais alors, qui est cet étranger sur lequel Anthony tombe dans son salon, et qui prétend être marié avec Anne depuis plus de dix ans ? Et pourquoi affirme-t-il avec conviction qu’ils sont chez eux, et non chez lui ? Anthony est-il en train de perdre la raison ? Pourtant, il reconnaît les lieux : il s’agit bien de son appartement, et la veille encore, Anne lui rappelait qu’elle avait divorcé… Et n’a-t-elle pas justement prévu de partir vivre à Paris ? Alors pourquoi affirme-t-elle maintenant qu’il n’en a jamais été question ? Quelque chose semble se tramer autour de lui, comme si le monde, par instant, avait cessé d’être logique. À moins que sa fille, et son nouveau compagnon, tentent de le faire passer pour un fou ? Ont-ils pour objectif de lui prendre son appartement ? Veulent-ils se débarrasser de lui ? Et où est Lucy, son autre fille ? Égaré dans un labyrinthe de questions sans réponse, Anthony tente désespérément de comprendre ce qui se passe autour de lui.
La presse en parle :
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Anthony Hopkins joue de sa propre vieillesse, de sa vulnérabilité, de sa fragilité, de ses questions face à la maladie de la mort. À ce jeu vrai, démasqué, sans art d’artifice, l’acteur octogénaire est bouleversant et magistral.
Ecran Large par Alexandre Janowiak
Labyrinthe mental bouleversant, The Father est une expérience viscérale et proprement époustouflante de la déliquescence humaine. Un très grand premier film.
Elle par Françoise Delbecq
Ce huit clos poignant et déchirant restera longtemps dans nos mémoires.
La Voix du Nord par Christophe Caron
Refusant le naturalisme, Florian Zeller utilise les techniques du cinéma pour illustrer ce chaos mental et le faire ressentir au spectateur et envelopper son huis clos d’une angoisse presque polanskienne. Terrible et déchirant.
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Un grand et beau film sur la fin de vie.
Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpêche
Magistral.
Le Parisien par Renaud Baronian
Un récit bouleversant.
Le Point par La Rédaction
Un film sombre et magnifique.
Ouest France par Gilles Kerdreux
Du très grand cinéma.
Télé Loisirs par Émilie Leoni
Une flèche qui va droit dans notre coeur de spectateur.
20 Minutes par Caroline Vié
Un très beau film.
Bande à part par François-Xavier Taboni
Florian Zeller impressionne avec un premier film subtil, tenu de bout en bout et remarquablement interprété.
CNews par Charlotte Marsal
Une plongée dans la démence sénile qui flirte avec le thriller.
CinemaTeaser par Alex Masson
À ce huis clos intime mais épique entre un condamné et son cerveau de plus en plus assailli par la maladie, s’ajoute celui voulu par la mise en scène de Zeller, qui transforme un appartement en terrain meuble et en piège sensoriel.