Samedi 29 avril à 16h
Tropiques Atrium – Salle Frantz Fanon
Suzume
Japon – 2023 – 2h02
Animation, Aventure de : Makoto Shinkai
Avec : Eri Fukatsu, Koshiro Matsumoto, Shôta Sometani
Titre original : Suzume no Tojimari
Synopsis:
Dans une petite ville paisible de Kyushu, une jeune fille de 17 ans, Suzume, rencontre un homme qui dit voyager afin de chercher une porte. Décidant de le suivre dans les montagnes, elle découvre une unique porte délabrée trônant au milieu des ruines, seul vestige ayant survécu au passage du temps. Cédant à une inexplicable impulsion, Suzume tourne la poignée, et d’autres portes s’ouvrent alors aux quatre coins du Japon, laissant entrer toutes les catastrophes qu’elles renferment. L’homme est formel : toute porte ouverte doit être fermée. Là où elle s’est égarée se trouvent les étoiles, le crépuscule et l’aube, une voûte céleste où tous les temps se confondent. Guidée par des portes nimbées de mystère, Suzume entame un périple en vue de toutes les refermer.
La presse en parle:
20 Minutes par Caroline Vié
« Suzume » est une réussite totale emportée par un réalisateur au sommet de son talent.
Les Echos par Adrien Gombeaud
Avec une beauté presque terrassante, le film dresse le portrait d’un empire où les séismes renvoient chacun à la fragilité de chaque chose. Un conte sur les forces de la nature et sans doute l’œuvre la plus aboutie de Makoto Shinkai.
Libération par Marius Chapuis
Le plus beau film du Japonais (de loin) et un beau film tout court, porté par une recherche de sens là où il n’y a rien d’autre à trouver que l’arbitraire et l’accidentel.
Mad Movies par Laurent Duroche
Suzume pourrait donc bien être l’acmé du style Shinkai. Et si ce n’est pas le cas, eh bien, on peine à mesurer la déflagration sensorielle que pourrait constituer son prochain film…
Première par Sylvestre Picard
En fin de compte, Suzume se suffit à lui-même et n’a pas besoin de nos longs commentaires alambiqués : le film affirme tout simplement que la force créatrice est autant question de création que de destruction. Autant nigimitama qu’aramitama.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Thibault Liessi
Une œuvre touchante, mêlant le grandiose à l’intime.
Ecran Large par Déborah Lechner
Si Your Name a tout de l’oeuvre matricielle de Makoto Shinkai, Suzume est, dans la continuité, un aboutissement plus lumineux, qui laisse entrevoir un renouveau artistique qu’on a déjà hâte de découvrir.
Femme Actuelle par La Rédaction
On y retrouve toute l’excellence japonaise, la beauté du moindre détail – de quoi plaire à un large public.
IGN France par Erwan Lafleuriel
N’oublions pas que nous allons mourir. En attendant, on peut passer un bon moment au cinéma avec le dernier Makoto Shinkai, toujours aussi beau visuellement, et soufflant un vent de liberté qui charrie toute la tendresse pour un peuple et son pays.
Le Dauphiné Libéré par Thibault Liessi
En établissant que les sentiments humains sont tout autant au centre des moments historiques que ceux plus banals, Makoto Shinkai offre une balade autant fantasmée que concrète du Japon, sans jamais se contredire, toujours en restant touchant.