— AFP—
Épilation intégrale, organes surdimmensionnés… source de complexes et frustration, les standards du porno transpirent dans les pratiques sexuelles et la conception qu’ont du corps les jeunes générations.
Plus d’un tiers des hommes de moins de 25 ans admettent avoir été déjà été complexés par la taille de leur pénis en regardant un film porno, révèle une enquête Ifop publiée jeudi.
Ces films peuvent générer des complexes chez les garçons mais répandent aussi des codes sexuels, comme l’épilation intégrale, d’après cette enquête réalisée pour Tukif.com, site pour adultes.
«Le sexe glabre vu dans les films X s’impose de plus en plus comme la norme du corps féminin désirable aux yeux des hommes parmi les jeunes générations où la consommation de porno est la plus forte», remarque François Kraus, directeur d’études à l’Ifop.