— Par Dégé —

Rétablissons sa vérité : KhoKho est victime de ses recherches techniques et non pas de Saint-Etienne (comme son portrait, « Le visage de l’authenticité », sur l’affiche publicitaire du dit rhum pourrait le faire croire.).
Il connaissait la valeur de ses œuvres qu’il ne monnayait pas : il pouvait les donner mais non pas les vendre au rabais à un acheteur mesquin. Il ne brade pas et on ne spécule pas non plus sur son dos. Un Seigneur de légende…
Donc en remerciement à Césaire, Le président Léopold Sédar Senghor invite à son tour des artistes martiniquais à retrouver leurs racines au Sénégal. Le Conseil Général offre les billets d’avion aller et KhoKho débarque à Dakar, en 1977, avec une quantité impressionnante de ses œuvres.