— Par Philippe Petit, Président de l’UDI Martinique —
Dans toute économie moderne, le mot croissance est la base de l’augmentation du produit intérieur brut (PIB) de chaque pays. C’est la pédale d’accélérateur destinée à augmenter le train de vie de la nation avant la répartition juste des richesses créées.
Répartition qui ne peut se faire que si la dette créée par l’Etat l’autorise… !
Aujourd’hui, la croissance étant absente de la zone euro (nul doute qu’elle reviendra avec la transition énergétique et les métiers induits -à développer dans un prochain courrier-), ce qui nous intéresse, c’est la pédale de frein destinée à stopper le poids sans cesse grandissant de la dette.
Les générations futures ne doivent payer pour nous notre incurie et notre gabegie !
A en croire les économistes de la gauche dite « classique » (la gauche de la gauche, marxiste ou post-marxiste), l’Etat français pourrait vivre à crédit en permanence en augmentant le déficit budgétaire et donc la dette publique à souhait, selon la politique dite « de la demande »…