Pleins feux sur des patrimoines menacés et des expressions rares, comme les joutes poétiques pratiquées par des dockers. Des rendez-vous exceptionnels.
Le 18e Festival de l’imaginaire met à l’honneur des artistes féminines. Il ne s’agit nullement d’exclure la gent masculine, bienvenue au sein de la riche programmation. Dans tous les cas, Arwad Esber, directrice du festival et de la Maison des cultures du monde (MCM), s’attache à braquer les feux sur des patrimoines menacés. Ainsi en est-il, comme l’illustre brutalement l’actualité, des chants égyptiens coptes (28 et 29 mars, sous la direction du professeur Michael Ghattas, Institut du monde arabe, ou IMA).
Conférences et films complètent le tableau