— Compte-rendu de l’UFM —
Le théâtre Aimé Césaire était trop petit ce mercredi 31 mars pour accueillir toutes et ceux venu.es partager, avec l’UFM et Isabelle Dailly, ce moment de parole vraie.
L’UFM, organisatrice de la soirée, a rappelé par sa présidente pourquoi très tôt, le corps des femmes a été placé au cœur des combats féministes.
Alors qu’il semble être le lieu de l’intime et du personnel, le corps est en fait bien un objet social, à la frontière entre l’individu et la société.et ses représentations culturelles. Celles-ci ne sont pas neutres, et dans la plupart des sociétés contemporaines, le contrôle du corps s’exerce au premier chef sur les femmes. Celles-ci sont surexposées à la contrainte sociale, en raison d’une assignation au genre plus marquée.
Le corps des femmes est donc un enjeu de pouvoir, de domination, d’aliénation et la bataille pour sa libération fait partie des luttes des femmes pour leur émancipation.
Un livre parti de son vécu
Le livre d’isabelle Dailly « Moi, ma vie, ma chatte » est parti de son propre vécu de la maltraitance de la société lors d’un évènement de sa vie.