Étiquette : Fernanda Valadez

« Hijo de Sicario », un film de Astrid Rondero, Fernanda Valadez

Jeudi 17 octobre à 18h30 à Madiana (à vérifier)
Avec Juan Jesús Varela, Yadira Pérez, Karla Garrido
Titre original Sujo | 21 août 2024 en salle | 2h 00min | Drame
Synopsis
Tout public
Après l’assassinat d’un sicario dans une petite ville mexicaine, Sujo se retrouve orphelin et échappe de justesse à la mort grâce à sa tante qui l’élève à la campagne. À l’adolescence, la rébellion s’éveille en Sujo et il rejoint le cartel local. L’héritage de son père semble alors rattraper son destin.
La presse en parle :
L’Humanité par Vincent Ostria
La destinée du fils d’un tueur de cartel de la drogue, filmée sur un mode impressionniste. Hijo de sicario fait la part belle à la nature et montre le caractère aléatoire et atavique d’une criminalité née de la pauvreté rurale.

L’Obs par Xavier Leherpeur
Tour à tour thriller étouffant, western nihiliste, film de fantômes et réflexion sociale sur le Mexique contemporain, Hijo de Sicario est un film puissant, à la fois désespéré et optimiste.

La Septième Obsession par Xavier Leherpeur
HIJO DE SICARIO est l’histoire d’un déterminisme poisseux.

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« Sans signe particulier », un film de Fernanda Valadez

Avec Mercedes Hernández, David Illescas, Juan Jesús Varela
Titre original Sin Señas Particulares
Prochainement / 1h 35min / Drame

Synopsis :
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Magdalena entreprend une traversée du Mexique à la recherche de son fils, disparu lors de son trajet vers la frontière. Durant son parcours, Magdalena fait la connaissance de Miguel, un jeune homme qui vient d’être expulsé des États-Unis. C’est ainsi qu’ils s’accompagnent : Magdalena à la recherche de son fils, Miguel attendant de retrouver sa mère, dans un territoire incertain où déambulent ensemble victimes et bourreaux.

La Presse en parle :
Sens Critique par 6nezfil
un film brutal et parfois à la limite du supportable mais déploie une telle compassion qu’il n’est jamais complaisant dans sa férocité. Mieux, la réalisatrice aménage de nombreux temps de pause où ses images magnifient la splendeur de la nature, comme antidote à la sauvagerie des hommes. Elle trace aussi la voie de la solidarité, souvent féminine, seule lueur d’espoir dans un univers bestial que la société n’a pas les moyens, ni semble t-il la volonté, d’essayer de corriger.

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