Étiquette : Denis Mpunga

« Le petit peuple de la brume » par le Théâtre du Papyrus

Samedi 26 mars 17 h Tropiques– Atrium

À partir de 4 ans
Prix du Ministre de l’Enseignement fondamental et Coup de foudre de la presse aux Rencontres de Théâtre Jeune Public de Huy 2002.

Synopsis :
Après quelques pas dans le brouillard, nous allons découvrir un pays étrange envahi par une brume incessante qui obscurcit le ciel au point que le soleil ne transparaît jamais. Il y règne un froid glacial. Toute vie semble impossible. D’autant plus qu’apparemment tout a brûlé.
Mais en y regardant mieux et avec un peu d’imagination… !!!
Le petit peuple de la brume est toujours là. Les habitants ont abandonné leur village pour se réfugier dans des trous afin de résister au froid.
Mais qui est responsable de ce climat malsain ? D’où vient ce feu qui a tout détruit et comment l’apprivoiser pour qu’il réchauffe enfin le pays et ses habitants ?

Équipe de création
Bernard Chemin, Julie Chemin, Gaëlle Clark, Didier de Neck, Emmanuel Fardeau, Christine Flasschoen, Caio Gaïarsa, Marie Kersten, Jérôme Lagrange, Anne-Marie Loop, Denis M’Punga.

Équipe de mise-en-scène
Bernard Chemin, Didier de Neck, Emmanuel Fardeau, Caio Gaïarsa

Scénographie et marionnettes
Christine Flasschoen

Aide à la création du décor
Guy Carbonnelle, Céline Robaszynski, Olivier Waterkeyn

Régie générale
Roger Verhoven

Distribution
Bernard Chemin, Denis M’Punga, Christine Flasschoen et Fred Postiau

 

Le petit peuple de la brume from Théâtre du papyrus on Vimeo.

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La folie de Marguerite

Par Selim Lander

Marguerite André Marcon, Catherine Frot et Denis Mpunga incarnent au cinéma, respectivement le comte de Beaumont, la comtesse épousée pour son argent et enfin le majordome noir en proie à de troubles sentiments qu’il exorcise en photographiant la comtesse dans les tenues de scène, parfois un peu osées, qu’elle collectionne. Car elle est passionnée d’opéra au point de travailler plusieurs heures par jour les grands airs du répertoire. Même si la musique est chez elle une passion ancienne, elle s’y est littéralement plongée après son mariage, compensant ainsi la négligence dans laquelle la tient un mari volage. Las, elle chante (très) faux.

Tout cela se passe dans le beau monde, l’argent ne manque pas. Ce sont les années folles, la comtesse est contente de s’encanailler dans des boites interlopes conduites par des jeunes gens autant intéressés par son argent qu’émus par son rêve impossible. Car elle s’imagine en diva. Et personne n’a osé lui révéler que même son argent sera impuissant à réaliser ce genre de miracle. Son argent qui n’a servi qu’à l’isoler dans le monde fantasmagorique où elle a plongé jusqu’à s’y noyer…

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