— Par Max Auguiac et Jean-Claude William.—
La mémoire de Bernard Petitjean Roget a été saluée de fort belle manière dans la presse par deux personnalités qui, l’une et l’autre, ont fait ressortir son engagement pour le développement économique et culturel de notre pays. A quoi bon un témoignage de plus voire un témoignage de trop ?
Pour la raison que nous sommes très émus, comme tous ceux qui l’ont connu, par sa disparition prématurée mais, hélas, prévisible. Et aussi parce que nous souhaitons parler de « l’honnête homme ».
Cette formule tombée en désuétude nous parait convenir à la personnalité de notre défunt ami.
Honnête au sens courant-et nous insistons sur ce point- mais aussi curieux de toutes choses, cultivé, étranger aux vaines querelles.