Par Jason Yu
Avec Yu-mi Jeong, Sun-kyun Lee, Kim Kum-Soon
Titre original Jam
21 février 2024 en salle | 1h 35min | Epouvante-horreur, Thriller
Synopsis :
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
La vie d’un jeune couple est bouleversée quand le mari devient somnambule et se transforme en quelqu’un d’autre la nuit tombée. Sa femme, submergée par la peur qu’il fasse du mal à leur nouveau-né, ne trouve alors plus le sommeil….
La presse en parle :
CinemaTeaser par Emmanuelle Spadacenta
Film-métaphore, Sleep combine à merveille la peur théorique et l’effroi concret, ce que l’on croit et ce qui est sous nos yeux, sans jamais vouloir – et c’est tant mieux – prendre parti. Brillant premier long-métrage.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Un cauchemar à dormir debout.
L’Ecran Fantastique par Quelou Parente
Le film qui bénéficie d’un jeu d’acteurs, vedettes de premier plan, s’avère convaincant de bout. Il tient son audience en haleine avec une réalisation au plus près des émotions des personnages, tout en offrant un éventail de lectures qui en fait tout son intérêt.
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Le sud-Coréen Jason Yu, ancien assistant de Bong Joon-ho, signe une comédie horrifique d’une grande maîtrise.
20 Minutes par Caroline Vié
Les chroniques horrifiques sud-coréennes savent toujours taper près de l’os pour déranger le spectateur. Et le cinéma sud-coréen compte maintenant un nouveau nom à surveiller de très près : on n’a pas fini d’entendre parler de Jason Yu après ce premier film réussi.
Cahiers du Cinéma par Jean-Marie Samocki
Le mari et l’épouse vivent côte à côte mais jamais en même temps. Jason Yu ne se prive pas pour exploiter la part de burlesque et d’horreur qu’offre cette désynchronisation, ce qui donne à Sleep des airs de série B ludique à l’instar de certains films de Kiyoshi Kurosawa ou de M. Night Shyamalan.
Culturopoing.com par Noëlle Gires
Le sens du tempo, les cuts toujours bien placés, l’alternance entre la peur et le rire, le jeu avec les attentes du spectateur, tantôt confirmées, tantôt déjouées, font de Sleep une oeuvre jubilatoire.
L’Obs par François Forestier
C’est intelligent, raconté avec talent, et bien que le réalisateur insiste pour n’y voir qu’une histoire d’amour qui dérape, il se glisse entre les images un sentiment plus confus, écho d’un pays divisé dont une moitié est dominée par un dirigeant violemment paranoïaque. Frissons garantis.
Le Parisien par Michel Valentin
Mais pour tout le reste, et notamment la lente descente aux enfers du couple à cause de nuits mouvementées, le long-métrage, qui a décroché le Grand prix du dernier festival international du film fantastique de Gérardmer, mérite le détour.
Le Point par La Rédaction
Divertissant et rondement mené, mis en scène avec une élégance qui accompagne habilement la progressive poussée d’angoisse, Sleep est un premier essai réussi.
Les Inrockuptibles par Jérémie Oro
Le jour, Sleep est une dramédie romantique sur une classe moyenne coréenne au très faible taux de natalité ; la nuit, il est un survival effréné faisant des crises de somnambulisme le réceptacle métaphorique de l’anxiété des jeunes parents. Un petit coup de maître.
Mad Movies par François Cau
« Sleep » montre des interprètes en pleine maîtrise olympique de leur art, à l’alchimie palpable. D’un projet modeste, Jason Yu tire une force créative enthousiasmante.
Ouest France par Philippe Lemoine
Cette histoire de mari somnambule aux déplacements nocturnes inquiétants alterne efficacement les moments effrayants et les scènes plus légères.
Transfuge par Corentin Destefanis Dupin
À partir d’un concept simple et efficace, usant d’une narration précise, le jeune cinéaste coréen infuse une angoisse épidermique chez son spectateur […].