Avec Joséphine Sanz, Gabrielle Sanz, Nina Meurisse
2 juin 2021 au cinéma / 1h 12min / Drame
Synopsis :
Nelly a huit ans et vient de perdre sa grand-mère. Elle part avec ses parents vider la maison d’enfance de sa mère, Marion. Nelly est heureuse d’explorer cette maison et les bois qui l’entourent où sa mère construisait une cabane. Un matin la tristesse pousse sa mère à partir. C’est là que Nelly rencontre une petite fille dans les bois. Elle construit une cabane, elle a son âge et elle s’appelle Marion. C’est sa petite maman.
La presse en parle:
Libération par Camille Nevers
Petite Maman, de Céline Sciamma, est un grand film. Que son format comme l’âge de ses héroïnes (interprétées par deux petites sœurs jumelles) soit «mineur» n’y change rien. Au contraire, c’est cette discrétion consciente ajoutée de «petit film» comme aussi son titre et sa durée l’indiquent, ce côté modèle réduit, qui rend ce récit d’enfant plus ample et beaucoup plus remarquable que les précédents.
Ouest France par Thierry Chèze
Une merveille.
Télérama par Frédéric Strauss
À travers les thèmes du double, de l’enfance et de la maternité, la réalisatrice poursuit son exploration de l’identité féminine. Avec beaucoup de grâce.
Voici par La Rédaction
La réalisatrice de Portrait de la jeune fille en feu explore en douceur, à hauteur d’enfants, la relation mère-fille, autour du thème de la transmission. Et révèle deux très jeunes actrices magnifiques.
20 Minutes par Caroline Vié
La réalisatrice de Portrait de la jeunefille en feu offre ici une œuvre délicate, ode à la douceur familiale. Et l’amour qui affleure du film fait un bien fou.
Bande à part par Benoit Basirico
La relation mère-fille à l’épreuve du deuil est ici filmée avec délicatesse et sobriété par une cinéaste au sommet de son art.
CinemaTeaser par Renan Cros
Après le feu du portrait, la douceur déchirante d’un conte. Un film faussement mineur qui confirme le regard essentiel et puissant de Céline Sciamma.
Culturopoing.com par Bénédicte Prot
Pour décrire ce qui émeut autant dans Petite maman, le tout simple adjectif « pur » est à vrai dire le plus juste. Parce qu’on parle évidemment d’enfance, mais surtout parce que l’authenticité délicate de Céline Sciamma ne procède pas par soustraction. Le dispositif de ce film a beau paraître dépouillé comme une maison de famille qu’on vide après tant d’années, « réduit » à l’essentiel comme on dit, il n’en est pas moins riche, bien au contraire.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Le merveilleux est en action : une petite fille rencontre dans les bois dont les contes sont faits une autre petite fille, qui lui ressemble comme un double gémellaire. Une rencontre initiatrice formidable. De fille en mère.
Ecran Large par Simon Riaux
En 72 minutes à peine, Céline Sciamma nous précipite dans les arcanes de l’enfance, de ses rêves et de ses fulgurances, grâce à un conte fantastique où l’écriture passe avant tout par l’image. Une bascule passionnante de la part d’une cinéaste qui a toujours donné une grande importance au scénario, et qui renouvelle ici son cinéma avec une belle évidence.
Elle par Françoise Delbecq
Intime et féerique.
La Croix par Céline Rouden
Un petit bijou d’épure et de délicatesse.
La Voix du Nord par Christophe Caron
Le nouveau film de Céline Sciamma est un très joli conte fantastique, à la fois court, troublant et délicat.
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Une rencontre initiatrice formidable.
Le Monde par Clarisse Fabre
Céline Sciamma signe un puissant conte fantastique, réglé sur les pas d’une étrange fillette.
Les Fiches du Cinéma par Simon Hoarau
Avec ce récit de deuil, la réalisatrice signe un retour faussement minimaliste, mais éminemment touchant dans son universalité et sa justesse.
Marianne par Olivier De Bruyn
Le deuil et la reconstruction, l’identité morcelée et le partage : Céline Sciamma évoque avec subtilité quelques grands thèmes et signe une fiction intimiste qui ne ressemble à rien de connu dans le paysage du cinéma français. Tant mieux.
Paris Match par Karelle Fitoussi
Un bouleversant retour aux sources filmé dans son Cergy natal qui fixe dans le rétroviseur l’origine de son désir de création et inverse les archétypes de genre pour mieux absoudre la maman de n’avoir pas été le modèle célébré par la société patriarcale. Amen.
Positif par Yann Tobin
Mineur peut-être, mais précieux.
Première par Thierry Chèze
72 minutes d’une délicatesse inouïe.
Transfuge par Corentin Destefanis Dupin
Il fallait la pureté et la simplicité du regard de Sciamma pour offrir à l’imaginaire de Nelly toute la puissance de la réalité.