Vendredi 12 février 18h30 – Salle Frantz Fanon –
Avec Marie-Eugénie Maréchal, Véronique Alycia, Gérard Rinaldi
Nationalité japonais
8 septembre 1999 / 1h 21min / Animation, Thriller / Date de reprise 9 mai 2018
Synopsis :
Interdit aux moins de 12 ans
Mima est une icône pop, membre d’un « girls’ band » à succès. Quand elle décide de quitter le groupe pour devenir vedette d’une série télévisée, ses fans se désolent. Aussitôt, sa vie tourne au cauchemar. Elle reçoit des messages menaçants sur Internet et d’inquiétants événements entourent Mima et ses proches : des hallucinations, des menaces et pire encore… des meurtres.
La presse en parle :
Cinopsis.com par Olivier Loncin
(…) un manga animé d’honnête facture.
Le Monde par Jean-François Rauger
Perfect Blue invente un univers à la fois réaliste et abstrait, fonctionnant comme un monde de réseaux, de connexions secrètes. Le spectateur est comme transporté au gré des innervations et des circonvolutions d’un énorme cerveau.
Le Parisien par Eric Leguèbe
L’ambition narrative est à la hauteur de l’habileté du graphisme. Dans le domaine de l’animation japonaise « Perfect Blue » est ce qu’on aura vu de meilleur depuis « Akira », de Katsuhiro Otomo.
Les Inrockuptibles par Olivier Père
Ce récit de terreur psychologique utilise un répertoire relativement sobre pour un film d’animation, ce qui rend son déroulement plus angoissant encore.
Libération par Olivier Séguret
(…)depuis Tron, fameux prototype Disney des années 80 aux confins de la synthèse, du cinéma et de l’animation on n’a sans doute pas vu de film aussi exemplaire, inclassable, déroutant et peut-être bien prophétique, que ce manga distancié (…)
Télérama par Bernard Genin
Jusqu’à la dernière minute, le réalisateur maintient la tension et entretient le doute. Dans une ambiance glaciale, il joue des architectures urbaines, à la fois étouffantes et anguleuses.
Chronic’art.com par Jean-Baptiste Hanak
Perfect blue cumule une qualité de dessin médiocre et une animation saccadée. Sa force majeure réside plus dans l’histoire racontée que dans la mise en scène.
Première par Gérard Delorme
Avec ses jeux de miroir mentaux, intrigues superposées (…), l’histoire n’est pas seulement un modèle de construction (le spectateur n’est jamais perdu), elle provoque un effet véritablement vertigineux qui encourage les visions répétées.