En V.O. à Madiana dimanche 6 août et mercredi 9 août à 20h
Par Christopher Nolan
Avec Cillian Murphy, Emily Blunt, Matt Damon
19 juillet 2023 en salle / 3h 01min / Biopic, Historique, Thriller
Synopsis :
En 1942, convaincus que l’Allemagne nazie est en train de développer une arme nucléaire, les États-Unis initient, dans le plus grand secret, le « Projet Manhattan » destiné à mettre au point la première bombe atomique de l’histoire. Pour piloter ce dispositif, le gouvernement engage J. Robert Oppenheimer, brillant physicien, qui sera bientôt surnommé « le père de la bombe atomique ». C’est dans le laboratoire ultra-secret de Los Alamos, au cœur du désert du Nouveau-Mexique, que le scientifique et son équipe mettent au point une arme révolutionnaire dont les conséquences, vertigineuses, continuent de peser sur le monde actuel…
La presse en parle :
CinemaTeaser par Aurélien Allin
Chris Nolan continue de mener le grand spectacle américain vers des territoires singuliers et expérimentaux, entre portrait intimiste et fresque politique. Du très grand cinéma.
Culturopoing.com par Audrey Jeamart et Olivier Rossignot
Intime et désespéré, « Oppenheimer » est une tragédie humaine évoquant deux fissions, celle du noyau atomique et celle d’un individu […] Toute la défaite du monde semble passer sur le regard de Cillian Murphy, toujours pris dans ce terrible dilemme de faire avancer la Science et l’humanité, et d’avoir dans un même temps trouvé le moyen de l’éteindre.
Écran Large par Alexandre Janowiak
Christopher Nolan défie la physique du cinéma avec Oppenheimer, œuvre sensorielle à la richesse obsédante et la beauté époustouflante.
GQ par Adam Sanchez
Un impressionnant récit dédaléen où chaque moment, même les plus éloignés, entre en écho, s’interpénètre et tente de percer à jour le secret de ce physicien devenu la figure nébuleuse d’une humanité de plus en plus tentée par son autodestruction. Plus que la course contre-la-montre pour l’arme atomique engagée par l’Amérique contre l’Allemagne nazie, c’est le regard ambigu que Christopher Nolan porte sur Robert Oppenheimer qui passionne.
Ouest France par Philippe Lemoine
Avec brio mais aussi rigueur et profondeur, Christopher Nolan raconte le destin de celui qui créa la première bombe atomique.
20 Minutes par Caroline Vié
Plus linéaire que d’autres œuvres du réalisateur, Oppenheimer se révèle plus accessible en faisant vivre avec un génie redoutable comme si on était dans son cerveau.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Christopher Nolan creuse avec brio les dilemmes éthiques irréconciliables et explosifs de Robert Oppenheimer (1904-1967), directeur scientifique du projet Manhattan mettant au point les premières bombes atomiques dans les laboratoires de Los Alamos, au Nouveau-Mexique.
La Croix par Stéphane Dreyfus
Une plongée fascinante dans la vie tourmentée du physicien américain Robert Oppenheimer (…).
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Le récit discontinu, morcelé, libère, comme la puissance brute d’une bombe humaine, une ignition des conflits intérieurs d’Oppenheimer, l’idéaliste dévasté.
Le Journal du Geek par Allan Blanvillain
Oppenheimer est un film somme pour un Christopher Nolan en pleine exorcisation de ses obsessions. Un métrage gargantuesque dans tous les sens du terme qui représente peut-être le meilleur du réalisateur lorsqu’on se laisse porter par la puissance sonore et visuelle, mais dont le scénario manque d’un supplément d’âme.
Le Parisien par La Rédaction
Mais le cinéaste réussit surtout à dépeindre avec talent une histoire incroyable, la course à la bombe atomique, dont on connaît pourtant déjà la fin.
Le Point par Philippe Guedj
Le réalisateur de « Tenet » consacre un biopic détonant au père de la bombe atomique.
Les Échos par Adrien Gombeaud
Christopher Nolan signe une réflexion sur la naissance d’une ère terrifiante, dans une fresque monumentale, épuisante et fascinante.
Les Fiches du Cinéma par Florent Boutet
Comment représenter un homme aussi complexe que le père du projet Manhattan ? C’est par le biais d’une trame narrative virtuose et sinueuse que Christopher Nolan raconte Robert Oppenheimer et la folie d’un monde scientifique en proie à son hubris destructeur.
Paris Match par Fabrice Leclerc
Voilà du grand cinéma exigeant, une nouvelle fois synthèse parfaite entre cinéma d’auteur et grand spectacle, un style devenu la patte d’un metteur en scène qui n’a pas fini de célébrer le cinéma avec un grand C.
Télérama par Jacques Morice
Retraçant la palpitante trajectoire du père de la bombe atomique, le maître des blockbusters réussit un biopic aussi subtil qu’incarné.
Franceinfo Culture par Jacky Bornet
Ne voulant pas perdre le spectateur, Nolan s’oblige à être didactique pour expliquer les phénomènes de fusion et de fission à l’origine de la réaction nucléaire, dont le physicien fut un des maîtres d’œuvre. Ajouté au portrait psychologique peu avenant d’Oppenheimer, le risque de perdre le public n’est pas loin.
L’Humanité par Cyprien Caddeo
Une fois retombée la poussière de ses trois heures d’artillerie lourde hollywoodienne, reste au spectateur le sentiment d’un blockbuster en état instable, entre pénible et sublime.
L’Obs par Nicolas Schaller
Dans ce maelström audiovisuel, saturé de musique, le vertige vient des séquences posées (…). L’effet de contraste est voulu, certes, mais ne justifie pas les trois interminables heures que dure le film, tourné en pellicule et en Imax.
Le Monde par Jacques Mandelbaum
C’est le temps que Nolan prend, en tout cas, pour répondre, brillamment comme à son habitude, mais avec ce goût de la conceptualité et de l’emphase qui fait que ses films n’échappent que rarement aux dangers du maniérisme. En ces temps d’infantilisation hollywoodienne, on hésiterait presque à s’en plaindre.