Samedi 8 février à 18h | Tropiques-Atrium
Avec Lili Farhadpour, Esmaeel Mehrabi, Mansoore Ilkhani
Titre original Keyke mahboobe man | 5 février 2025 en salle | 1h 36min | Comédie dramatique, Drame, Romance
Synopsis :
Tout public
Après avoir perdu son mari et sa fille, Mahin, 70 ans, vit une vie solitaire à Téhéran. La première partie du film est consacrée à montrer sa solitude. Mais un jour, elle décide de rejoindre ses amis pour le thé de l’après-midi et trouve une nouvelle étincelle dans son cœur. Elle rencontre quelqu’un qui lui fait se sentir à nouveau vivante, et la soirée se transforme en surprises et en souvenirs imprévisibles.
La presse en parle :
Bande à part par Isabelle Danel
Cette tragicomédie réussit ce prodige d’être un geste politique et un moment suspendu.
La Tribune Dimanche par Aurélien Cabrol
Rarement on aura filmé les premiers instants d’une rencontre amoureuse avec autant de pudeur et de malice partagées.
Les Echos par Olivier De Bruyn
Une merveille malicieuse et politique.
Marianne par Olivier De Bruyn
Vous doutiez de la capacité des réalisateurs iraniens de s’approprier (et de détourner) les codes de la comédie romantique ? Vous aviez tort. La preuve avec ce film insolent, émouvant et politique réalisé par un duo de cinéastes audacieux : Maryam Moghadam et Behtash Sanaeeha.
Cahiers du Cinéma par Olivia Cooper-Hadjian
Comme le titre bizarrement naïf du film ne l’indique pas, [les réalisateurs] cueillent dans chaque instant de plaisir la gravité qu’y instille fatalement une société aussi répressive que la République islamique d’Iran.
Franceinfo Culture par Laurence Houot
Le film est porté par l’interprétation magnifique de Lily Farhadpour, formidable dans le rôle de cette femme mature gagnée par la mélancolie, qui renaît à la vie, et par son partenaire, Esmaeel Mehrabi, attachant dans celui de Faramarz, son complice d’une nuit inoubliable.
L’Humanité par Eléonore Houée
Le duo à l’origine du « Pardon », sorti en 2021, revient avec une œuvre tout aussi engagée : une célébration de l’amour au grand âge à la fois douce et cruelle.
L’Obs par Xavier Leherpeur
Evoquer la sexualité d’une femme (et la filmer tête nue) a valu aux deux cinéastes l’interdiction d’accompagner leur film lors de sa présentation en compétition à Berlin où il a reçu le prix de la critique internationale. Preuve définitive de la dimension politique et frondeuse de cette comédie aussi douce qu’acide.
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Il y a du bon vin, des rires effleurés, des mots simples comme des caresses, de la musique qui s’échappe d’une mémoire lointaine, et une dernière danse pour retenir la vie, encore un peu, encore une fois…
Le Figaro par Florence Vierron
Dans les rôles principaux, Lili Farhadpour (Mahin) et Esmaeel Mehrabi (Faramarz) affichent la tranquillité de leur âge et la résignation de ceux qui n’ont rien à perdre. L’actrice a pourtant pris beaucoup de risques en acceptant de jouer dans Mon gâteau préféré.
Les Fiches du Cinéma par Julie Loncin
Pour leur deuxième collaboration, le tandem de cinéastes iraniens dépeint avec humour et délicatesse la rencontre amoureuse de deux septuagénaires en quête de tendresse, offrant en filigrane un tableau critique du climat oppressif qui règne dans leur pays.
Les Inrockuptibles par Ludovic Béot
« Mon gâteau préféré » pousse le cri politique le plus poétique et généreux qui soit.
Télérama par Frédéric Strauss
Un film tendre, drôle et audacieux.
aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
Tout à la fois gracieux, délicat, tragique et cruel, Mon gâteau préféré fait passer le spectateur par toutes les émotions possibles au cinéma. Une œuvre iranienne absolument courageuse.