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Parce que c’est mon ami
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Le seul homme politique qui ne cherche pas le pouvoir
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L’un des rares hommes politiques qui cherche à faire
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Il aime son prochain et la vie sociale car c’est un humaniste !
Aimer la vie, croire en l’avenir – et non au passé ! -, par ses valeurs profondes, Max Orville cultive une sérénité lucide en toute circonstance, un optimisme de but, une clairvoyance de moyens. Il cultive le futur parce que c’est un professeur né, et que les enfants et la jeunesse représentent l’avenir, là où porte son regard.
Max Orville est jovial, rayonnant de joie, quand autour de lui, trop de femmes et d’hommes politiques se montrent aigris, sur la défensive de peur qu’on leur vole leur os.
Max Orville a des convictions : casser ce qui fonctionne pour construire d’hypothétiques chimères est une bêtise. Prenons l’exemple du débat sur le POSEI : La banane antillaise constitue une filière agricole fragile qui mène avec succès d’homériques combats contre les multinationales américaines. C’est une filière courageuse qui, avec le rhum, porte haut les couleurs d’excellence de nos territoires. C’est une filière performante soutenue par l’Europe qui enjambe chaque jour de nouveaux obstacles. C’est une filière que les fonds POSEI soutiennent efficacement, comme ils soutiennent toutes les autres productions agricoles, à proportion de leur tonnage. Max Orville propose de consolider d’une part ce qui marche et de réparer d’autre part ce qui ne marche pas. Il propose notamment de réfléchir avec toutes les filières aux moyens d’optimiser les ressources de l’Europe au profit d’une agriculture plus souveraine. Ce n’est donc pas contre nos filières d’exportation qu’il faut agir, mais bien avec elles. Avant de déshabiller Paul pour tenter d’habiller Pierre, voyons si de nouvelles étoffes peuvent être disponibles. Ainsi, notre député européen pense que si nous faisions tous bloc (élus locaux, professionnels), nous pourrions alors obtenir de l’Europe et de la France, en plus des fonds destinés à la banane, de nouveaux fonds destinés à développer une agriculture de diversification. Parce que comme aime à le répéter Max Orville, une Martinique unie, rien ne lui résiste.
Max Orville a bien compris le fonctionnement du Parlement européen dont il a su gagner la confiance par son travail, l’intelligence et la justesse de ses propositions.
Qui dira le contraire sinon ces agités aigris qui cherchent dans l’Europe les critiques les plus démagogiques, quand notre député, libre de tout traumatisme avance avec pragmatisme sur une route droite et dégagée ?
Quand certains craignent de perdre l’illusion d’être supérieurs, Max Orville, que le pouvoir n’intéresse pas, continue toujours à faire parce que c’est dans sa nature.
Enfin il a admis, à force de comprendre la vie et les hommes, que tout est éphémère sur terre, sauf les valeurs éternelles en l’homme, en son pays et en l’humanité.
Je voterai donc la liste Besoins d’Europe conduite par Valérie Hayer. Je voterai pour Max, mon ami, parce que c’est notre Abbé Pierre de la Politique. Il est l’homme du partage et de l’aide aux autres. Fidèle aux principes et aux valeurs humaines plus qu’aux partis fascistes, extrémistes, préférant le milieu, acceptant les enjeux majeurs de nos société et du monde : l’économie, la technicité, le progrès et la science, socles pour nos îles. Dans ce monde en tourmente il œuvre inlassablement à un monde solidaire et heureux.
Le 8 juin, si vous en êtes d’accord, nous voterons vous et moi pour lui !
Yvon Joseph-Henri