Dimanche 17 mars à 21h sur OCS Max
Par Steven Rogers
Avec Margot Robbie, Allison Janney, Sebastian Stan
Titre original I, Tonya
21 février 2018 en salle | 2h 00min | Biopic, Comédie, Drame
Synopsis :
En 1994, le milieu sportif est bouleversé en apprenant que Nancy Kerrigan, jeune patineuse artistique promise à un brillant avenir, est sauvagement attaquée. Plus choquant encore, la championne Tonya Harding et ses proches sont soupçonnés d’avoir planifié et mis à exécution l’agression…
La presse en parle :
Femme Actuelle par La rédaction
On a adoré ce biopic explosif à la fois burlesque et tragique porté par Margot Robbie et son interprétation triple axel.
20 Minutes par Caroline Vié
Le réalisateur de « The Finest Hours » n’a pas choisi un format classique, ce qui rend ce biopic passionnant.
CNews par La rédaction
Dans une mise en scène au montage impétueux et haché, « Moi, Tonya » fait usage d’un ton bourré d’ironie. L’écueil du mélodrame est ainsi évité pour livrer un récit agité, qui fait le portrait d’une femme meurtrie et belliqueuse.
CinemaTeaser par Emmanuelle Spadacenta
Gillespie offre à ce conte de fées raté un écrin normcore, aussi immoral que sophistiqué : comme la survivante qu’elle est, Tonya Hardmg en sort presque grandie.
Ecran Large par Geoffrey Crété
Faux biopic mais vraie réussite, « Moi, Tonya » est une comédie grinçante, décapante et réjouissante, d’une énergie folle. Avec Margot Robbie et Allison Janney en armes de destruction massive.
Elle par Françoise Delbecq
Mise en scène musclée, interviews reconstituées, un peu d’humour, beaucoup de flash-back, le portrait de cette héroïne incomprise et white trash est ultra convaincant.
Franceinfo Culture par Laurent Hakim
(…) « Moi Tonya » est presque un polar, et que le prisme du biopic, donne toute sa chair à une aventure que l’on avait perçue beaucoup plus froidement à travers l’actualité d’un fait divers.
L’Express par Christophe Carrière
La narration et la mise en scène de ce singulier biopic sont épatantes. Du début à la fin, ça glisse tout seul.
La Croix par Jean-Claude Raspiengeas
La virtuosité de ce film tragi-comique tient à sa mise en scène électrique, au découpage efficace d’un scénario inventif, à l’impression de vitesse de toutes les scènes spectaculaires de patinage (dont le fameux triple axel, exploit inédit de Tonya Harding, filmé dans son étourdissant mouvement), à la bande-son où le crissement des lames sur la glace se mêle à la musique pop qu’affectionnait la patineuse pour ses figures.
Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Et si la façon d’en fouiller les profondeurs s’allonge de manière parfois un peu redondante, l’acidité cruelle d’un humour noir qui désamorce tout apitoiement et toute empathie fait de la simple chronique d’un scandale sportif une réjouissante vision au scalpel du rêve américain.
Le Figaro par Éric Neuhoff
Craig Gillespie filme la violence quotidienne, les illusions qui volent en éclats, l’injustice qui cause plus de dégâts que les paires de claque. Il montre la cruauté du sport professionnel, ponctue les témoignages de musiques d’époque (Chicago, Fleetwood Mac, Supertramp), suit à la trace cette icône déchue.
Le Parisien par Renaud Baronian
« Moi, Tonya » offre un regard nouveau sur cette sale histoire en déroulant le fil de la vie de l’athlète.
Le Point par Philippe Guedj
Curieusement glauque et enjoué à la fois, « Moi, Tonya » orchestre surtout un magnifique duo entre Robbie et l’actrice Allison Janney.
Les Fiches du Cinéma par Michael Ghennam
La mise en scène de Gillespie manque d’ampleur et de subtilité, maîs se rattrape par un montage dynamique, et en refusant d’atténuer la méchanceté du scénario Une méchanceté qui vole dans les plumes de la bien-pensance américaine, et dont le climax évoque, en matière d’absurde et de macabre, le « Fargo » des frères Coen…
Marianne par La rédaction
Dans « Moi, Tonya », aux antipodes de tout académisme, Craig Gillespie dresse le portrait d’une antihéroïne américaine, marquée au fer rouge par le déterminisme social et une relation terrible avec sa mère.