À Madiana. À partir du 23 septembre. Horaires ci-après.
Avec Casey Affleck, Anna Pniowsky, Elisabeth Moss
Nationalité Américain
12 août 2020 / 1h 59min / Drame, Science fiction
Synopsis :
Dans un futur proche où la population féminine a été éradiquée, un père tâche de protéger Rag, sa fille unique, miraculeusement épargnée. Dans ce monde brutal dominé par les instincts primaires, la survie passe par une stricte discipline, faite de fuite permanente et de subterfuges. Mais il le sait, son plus grand défi est ailleurs: alors que tout s’effondre, comment maintenir l’illusion d’un quotidien insouciant et préserver la complicité fusionnelle avec sa fille ?
La presse en parle :
Mad Movies par Gilles Esposito
Sans doute le meilleur film à caractère fantastique que vous pourrez voir en salles cet été.
aVoir-aLire.com par Thomas Bonicel
Casey Affleck réussit un joli conte autour de la transmission et du pouvoir de la fiction, dans un film d’une grande sobriété.
CinemaTeaser par Aurélien Allin
Armé de la force de son propos et de son indéniable sens du storytelling, Casey Affleck tend par moments vers le lyrisme de son ami David Lowery.
Closer par La Rédaction
Un récit de survie prenant jusqu’au bout.
Ecran Large par Simon Riaux
En artisan inquiet, Casey Affleck propose une errance apocalyptique sur fond d’introspection. Touchant, incisif et parfois dérangeant, son premier long-métrage de fiction impressionne la rétine.
Elle par Françoise Delbecq
La réalisation va bien à Casey Affleck.
Le Parisien par Michel Valentin
Un drame post-apocalyptique intimiste et déchirant.
Le Point par Victoria Gairin
Avec délicatesse et poésie, Light of my Life met l’accent sur les violences et les bontés de mère Nature, et sur la beauté de l’amour filial. Bouleversant.
Les Fiches du Cinéma par David Speranski
Avec Light of My Life, son premier véritable film de fiction, Casey Affleck, acteur talentueux et reconnu, passe avec succès l’épreuve de la mise en scène et parvient à évoquer les questions contemporaines les plus brûlantes, de la pandémie au féminisme.
Les Inrockuptibles par Jacky Goldberg
Conçu avant le scandale, Light of My Life n’est pas une opportune opération rédemption, mais un film sincèrement personnel, plus proche à vrai de dire de Gerry (qu’il avait coécrit avec Matt Damon avant de demander à Gus Van Sant de le réaliser) que d’I’m Still Here (son film-canular avec Joaquin Phoenix, celui-là même qui lui a valu ses ennuis).
Ouest France par Thierry Chèze
Un film riche en contrastes, mû tout à la fois par une tension sourde inquiétante et une atmosphère envoûtante qui vous enveloppe pour ne plus vous lâcher.
Public par La Rédaction
Dix ans après I’M Still Here, le frère de Ben Affleck repasse derrière la caméra et propose un film d’une violente tendresse.
Rolling Stone par Xavier Bonnet
Réalisateur, producteur et acteur, Casey Affleck porte à bout de bras un récit sur le don de soi parental.
Télé 2 semaines par M.A.
Casey Affleck mène ce récit naturaliste d’une quête de rédemption, dont il orchestre les montée en tension avec maestria.
Télé Loisirs par M.A.
Les quelques longueurs n’entament pas la puissance émotionnelle de ce récit naturaliste, lyrique et désespéré.
Voici par La Rédaction
Le beau portrait d’une relation fusionnelle, sur les traces de La Route ou des Fuils de l’homme.
Cahiers du Cinéma par Fernando Ganzo
Survival antispectaculaire, ce n’est pas tant le monde apocalyptique qui compte ici, mais la façon d’y construire un monde à soi. C’est la question, simple, du film : dans un monde d’hommes, quel homme peut-on être ?
Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Rare film américain à sortir en cette période de réouverture timide des salles de cinéma, Light of my Life vaut le déplacement si l’on est prêt à prendre le temps d’un récit qui prend le sien.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Thibault Liessi
Light of my life est un film poignant mais peut-être trop actuel pour ne pas en pâtir.
La Croix par Ève Guyot
Au cœur d’une société post-apocalyptique, un père et sa fille doivent se cacher pour survivre. À défaut d’un scénario original, ce film explore leur relation dans ce qu’elle peut avoir de plus touchant.
Le Dauphiné Libéré par Thibault Liessi
Reste finalement cette relation parent-enfant touchante, qui réussit à ne jamais sombrer dans le pathos. Une relation qui nous maintient dans cette lente exploration d’un monde à la dérive probablement trop proche de notre réalité.
Le Figaro par Etienne Sorin
Un film anti-spectaculaire qui finit par toucher.
Le Journal du Dimanche par S.B.
Une fois encore, l’acteur américain (Manchester by the Sea, A Ghost Story) brille par son jeu tout en intériorité.
Le Monde par Murielle Joudet
Car toute la mise en scène d’Affleck, un peu trop appliquée, consiste à créer des poches d’intimité en plein univers hostile (…) Cette manière dont Affleck rêve la maison, déploie sa réversibilité (tour à tour protectrice et menaçante), donne lieu aux meilleures scènes du film.
Le Nouvel Observateur par François Forestier
Casey Affleck, acteur passé derrière la caméra (« I’m Still Here », 2010), en rajoute dans la sentimentalité, se complaît dans son personnage de bon père, et réussit presque à couler le film. Mais pas tout à fait : la force du récit (une fable sur le modèle de l’arche de Noé) demeure. Grâce à la jeune actrice Anna Pniowsky, lumineuse.
Paris Match par Yannick Vely
Le film n’échappe pas à quelques tics du cinéma indépendant américain – longue scène d’exposition conçue comme un tour de force narratif, flashbacks explicatifs – mais Casey Affleck compose un personnage humain et vulnérable et révèle une jeune actrice promise à un grand avenir, Anna Pniowsky.
Première par Thierry Chèze
Le fil du récit est ténu, le temps peut parfois sembler un peu long mais la délicatesse infinie du geste qui contraste avec la violence de la situation créée une atmosphère prenante qui vous enveloppe pour ne plus vous lâcher.
Télé 7 Jours par L.D.
Casey Affleck, en réalisateur, mise (trop) sur le dépouillement, tandis que sa sobriété d’acteur transperce le cœur.
Critikat.com par Damien Bonelli
Ce road movie parcouru intégralement à pied – ou presque – s’en tient aux sentiers balisés du genre postapocalyptique.
Télérama par Marie Sauvion
Quelque part entre Les Fils de l’homme, d’Alfonso Cuaron, et Leave no Trace, de Debra Granik, Affleck trace une voie intrigante mais se prend les pieds dans son ambition.
Libération par Camille Nevers
En ce qui concerne les « fictions paternelles » en survival d’anticipation, catastrophe et pédagogue, n’importe quelle séquence de l’œuvre de Shyamalan et la majorité des films de Spielberg valent mieux que le naturalisme paresseux de Light of My Life, film complaisant, et profondément équivoque.
Projections à Madiana :
Mercredi 23 septembre | 19h30
Vendredi 25 septembre | 14h
Lundi 28 septembre | 19h30