Lundi 13 juin à 19h30 à Madiana
Avec Sherab Dorji, Ugyen Norbu Lhendup, Kelden Lhamo Gurung
Titre original Lunana: A Yak in the Classroom
/ 1h 49min / Aventure, Drame, Famille
Synopsis : Un jeune instituteur du Bhoutan est envoyé dans la partie la plus reculée du pays. Loin de la ville, le quotidien est rude, mais la force spirituelle des habitants du village transformera son destin.
La Presse en parle :
Le Parisien par Renaud Baronian
Le résultat est à la hauteur de cette aventure hors norme : ce film, dont on sort avec une envie irrépressible de tout lâcher, de jeter son smartphone et de s’enfuir loin de tout pour aller caresser des yaks et partir à la rencontre d’enfants merveilleux et d’éleveuses solaires chantant divinement, fait un bien fou.
Voici par La Rédaction
Un film au charme fou, touchant, spirituel et plein d’humour.
Culturopoing.com par Bénédicte Prot
Si l’intrigue du film en tant que telle est un classique récurrent, son contexte unique, majestueux, sublime (photographié avec beaucoup de sensibilité et d’élégance par Jigme Tenzing) fait de « L’École du bout du monde » un parangon du genre, une histoire qui, dans un sens, transcende tous les récits similaires qui l’ont précédée.
L’Obs par Jérôme Garcin
Un film initiatique de toute beauté, dont la vraie richesse est l’humilité.
aVoir-aLire.com par Claudine Levanneur
Un voyage dépaysant, écologique et anticapitaliste pour partir à la découverte de la meilleure définition du bonheur.
La Croix par Céline Rouden
Et c’est dans la confrontation entre les aspirations d’une nouvelle génération mondialisée, attirée par les mégapoles occidentales, et les traditions ancestrales de ces lieux que le film prend tout son relief.
Le Figaro par Benjamin Puech
Mais, plus que pour la prise de conscience du personnage principal montrée à l’écran, pas forcément bouleversante, L’École du bout du monde vaut pour ce bout du monde qu’elle nous fait découvrir, sans afféterie : les bols de bois dans lesquels se font les repas, le vent glacial sur les plateaux, jusqu’aux bouses de yaks séchées qui permettent d’allumer des feux de cheminée.
Les Fiches du Cinéma par Florent Boutet
Si le film est un ambassadeur du Bhoutan à l’international, il perd en force ce qu’il gagne en simplicité.
Libération par Marius Chapuis
Entre les formidables panoramas sur des cimes enrobées de nuages, des pâturages infinis, la modestie des habitats, l’Ecole du bout du monde offre une carte postale idéale pour qui rêve de quiétude et de frugalité.
Ouest France par La Rédaction
Un récit initiatique attachant.
Télérama par Guillemette Odicino
Gracieusement interprété, cet hommage à la puissance des traditions et à l’énergie de la jeunesse laisse, comme le voyage à son héros, de jolies notes d’humanité.