Mardi 4 février à 20h sur Canal +
Avec Alex Lutz, Léa Drucker, Nora Hamzawi |1 mai 2024 en salle | 1h 31min | Comédie dramatique
Synopsis :
Tout public
André Masson, commissaire-priseur dans la célèbre maison de ventes Scottie’s, reçoit un jour un courrier selon lequel une toile d’Egon Schiele aurait été découverte à Mulhouse chez un jeune ouvrier. Très sceptique, il se rend sur place et doit se rendre à l’évidence : le tableau est authentique, un chef-d’œuvre disparu depuis 1939, spolié par les nazis. André voit dans cet événement le sommet de sa carrière, mais c’est aussi le début d’un combat qui pourrait la mettre en péril. Heureusement, il va être aidé par son ex-épouse et collègue Bertina, et par sa fantasque stagiaire Aurore…
La presse en parle :
Bande à part par Olivier Pélisson
La petite musique de Bonitzer est particulièrement réussie par sa science des dialogues, de la répartie, du rythme et des contre-temps. Pour les servir, il a mitonné sa distribution, avec une équipe en grande forme.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifllet
Bonitzer expose avec finesse le cynisme spéculatif, soulève des questions fondamentales sur la valeur de l’art, la moralité de ses transactions et les répercussions de l’histoire sur le présent.
Franceinfo Culture par Laurence Houot
Un scénario bien ficelé sur un sujet inattendu, des dialogues savoureux, une mise en scène classique, mais efficace, et un beau casting font de ce dernier film de Pascal Bonitzer un moment à la fois instructif et divertissant.
L’Est Républicain par N.C
Pascal Bonitzer peint un portrait sans merci du marché de l’art dans une comédie acide, mettant en scène une maison de vente aux enchères avide, intéressée d’abord par la valeur monétaire d’un tableau de Schiele.
L’Obs par Sophie Grassin
On retrouve les dialogues en forme de douche écossaise chers au cinéaste, notamment dans la scène d’ouverture, un modèle du genre. Et puis il y a cette galerie de personnages – ex-femme, avocate… –, dont Bonitzer ne divulgue pas tous les secrets mais qui, chacun à leur manière, servent le film et en majorent l’intérêt.
La Croix par Corinne Renou-Nativel
Pascal Bonitzer s’empare d’une histoire vraie pour dépeindre le monde du marché de l’art dans un film passionnant servi par une distribution impeccable.
La Tribune Dimanche par Aurélien Cabrol
À la fin du film, tout s’éclaire, chaque personnage occupe sa place, chaque élément disparate fait sens, toutes les parties de l’histoire s’assemblent à la façon d’un puzzle. Pour nous raconter l’histoire passionnante de ce tableau volé, Pascal Bonitzer a pris soin, en conteur avisé, de nous prendre par la main et de nous conduire à travers des chemins plus ou moins escarpés vers une résolution presque apaisée.
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Bonitzer expose avec finesse le cynisme spéculatif, soulève des questions fondamentales sur la valeur de l’art, la moralité de ses transactions et les répercussions de l’histoire sur le présent.
Le Figaro par Eric Neuhoff
Si on mettait ce Tableau volé aux enchères, les mains n’arrêteraient pas de se lever dans la salle. Bonitzer une fois, Bonitzer deux fois, Bonitzer trois fois? Adjugé. L’acheteur n’aura pas à regretter son geste.
Le Parisien par Julien Desneuf
Inspiré d’une histoire vraie, le film parle moins d’art que des intérêts qui y sont liés. Le tout avec finesse et humour, sans jamais grossir le trait.
Le Point par La Rédaction
Servi par une belle distribution, ce film permet de découvrir Nora Hamzawi dans un registre inattendu. Elle est tout bonnement irrésistible en avocate de province gauche. Il confirme les talents de Louise Chevillotte, merveilleuse mythomane, et d’Arcadi Radeff, bouleversant en ouvrier dépassé par les événements.
Le Soir par Fabienne Bradfer
Ce tableau singulier (des tournesols) s’est révélé être une œuvre spoliée par les nazis. Le cinéaste français part de là pour imaginer une intrigue et nous immerger dans le monde de l’art et la valeur marchande des œuvres. C’est fascinant.