Jeudi 31 octobre à 18h Place des arts et de la culture de Trou Terre à Cité La Croix au Robert
Le Royaume de Naya (Мавка. Лісова пісня ; Mavka. Lisova pisnya) est un film d’animation ukrainien réalisé par Oleh Malamuzh et Oleksandra Ruban, et sorti en 2023.
Synopsis
« Par-delà les hautes Montagnes Noires se cache un royaume peuplé de créatures fantastiques. Depuis des siècles, elles protègent du monde des hommes une source de vie éternelle aux pouvoirs infinis. Jusqu’au jour où Naya, la nouvelle élue de cette forêt enchantée, rencontre Lucas, un jeune humain égaré dans les montagnes. À l’encontre des règles établies depuis des millénaires, ils vont se revoir, sans prendre garde aux conséquences qui s’abattront sur le royaume. L’aventure ne fait que commencer. »
La presse en parle :
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Un bijou d’animation.
La Voix du Nord par La Rédaction
Ce film d’animation mérite l’attention.
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Un antagonisme classique, mais l’animation le rehausse par son inventivité éblouissante et colorée.
Le Figaro par Marie-Noëlle Tranchant
Avec ses riches sonorités, ses résonances joyeuses ou inquiètes, Le Chant de la forêt a le pouvoir envoûtant d’un poème au long cours, qui épouse les mystères de la nature et « la patience du monde », selon une expression indienne.
Le Parisien par La Rédaction
Ce film d’animation, s’il pêche sur certaines séquences par son graphisme tape-à-l’œil, déroule une histoire fantastique pleine de suspense, d’humour et de rebondissements qui n’a rien à envier à celles issues des grands studios d’animation américains.
Ouest France par Sylvestre Picard
Ce conflit entre industrie et nature, entre technologie et mystique, est bel et bien le moteur du film et son enjeu. Mais, avant tout, le spectateur est embarqué dans une palpitante aventure animée.
Les Fiches du Cinéma par Gilles Tourman
Un conte profond et édifiant à tous égards.
Première par Sylvestre Picard
Même si le film pourra paraître un poil longuet aux grands dadais qui s’y traîneront (la faute à ses multiples personnages, entraînant autant d’intrigues à boucler en 90 minutes), et les chansons très oubliables (car il y en a : heureusement, elles sont rares), ce Royaume-là est une jolie surprise.