Jeudi 6 – Dimanche16 Madiana à 19h30
Avec Younes Bouab, Salah Bensalah, Bouchaib Essamak
Nationalités Marocaine, Française, Qatarienne
1 janvier 2020 / 1h 40min / Comédie dramatique
Synopsis :
Au beau milieu du désert, Amine court. Sa fortune à la main, la police aux trousses, il enterre son butin dans une tombe bricolée à la va-vite. Lorsqu’il revient dix ans plus tard, l’aride colline est devenue un lieu de culte où les pèlerins se pressent pour adorer celui qui y serait enterré : le Saint Inconnu. Obligé de s’installer au village, Amine va devoir composer avec les habitants sans perdre de vue sa mission première : récupérer son argent.
La presse en parle :
Madinin’Art par Roland Sabra
Une première œuvre très cinématographique dans la mesure où ce sont principalement les images qui construisent autour de silences, de non-dits, de retenues, une fable burlesque, une critique sociale impertinente des obscurantismes aux diverses facettes. Une belle épure riche de promesses.
Transfuge par Serge Kaganski
Faire rire des travers de la société marocaine sans déclencher les foudres d’autorités toujours promptes à censurer, voilà bien le signe d’un cinéaste aussi subtil dans le maniement de l’humour que dans celui de la critique sociale.
Cahiers du Cinéma par Jean-Philippe Tessé
Le premier long métrage d’Alaa Eddine Aljem détonne et laisse entrevoir une belle promesse.
CinemaTeaser par Emmanuelle Spadacenta
Le Miracle du Saint Inconnu est une fable est comme un film des frères Coen qui aurait été revisité à la sauce marocaine. Mais ce n’est pas parce que c’est enfantin, que ce n’est pas diablement malin.
Dernières Nouvelles d’Alsace par La Rédaction
Un très joli premier film.
Femme Actuelle par Sabrina Nadjar
Cette comédie marocaine séduit par son ton pince-sans-rire, ses gags muets rappelant parfois Chaplin ou Tati.
Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Une fable burlesque joliment ciselée.
Les Inrockuptibles par Jean-Baptiste Morain
« Le Miracle du Saint Inconnu » est l’occasion de décrire avec humour un petit peuple rigolard et farceur (…) et quelques bras cassés assez désopilants, (…) puisant à la fois son humour dans le pince-sans-rire et l’autodérision. (…) Un très joli premier film.