A Madiana. Voir les horaires.
de Matt Reeves
Avec Andy Serkis, Woody Harrelson, Steve Zahn
Genres Science fiction, Action, Aventure
Nationalité américain
Synopsis : Protégés par la jungle, César et les singes sont confrontés à l’armée d’un colonel humain sanguinaire qui cherche à tout prix à retrouver César pour installer la domination des hommes sur les primates. Défaits lors d’un assaut violent, le colonel se déplace en personne dans le refuge de César pour le tuer alors que ce dernier venait de prendre la décision de faire avancer la colonie vers un désert repéré par son fils et son ami Rocket, où les humains ne pourraient plus leur causer d’ennuis. Le Colonel tue le fils de César ainsi que sa femme, épargnant sans le savoir un autre nouveau-né du singe. César tente de le tuer pour cet acte mais n’y parvient pas. Il se lance alors à sa poursuite, aidé par Maurice, Rocket et Luca tandis que la colonie avance vers le désert promis…
La presse en parle :
CinemaTeaser par Emmanuelle Spadacenta
La trilogie préquelle de « La Planète des singes » se conclut en apothéose, avec violence, passion et une faim de cinéma folle.
Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Une science-fiction adulte, spectaculaire et ambitieuse, digne des plus grands titres du genre. Epoustouflant.
Paris Match par Yannick Vely
Pas besoin d’être cinéphile pour apprécier le spectacle. Un grand souffle d’aventure balaie le futur froid imaginé par Mark Bomback et Matt Reeves et la première heure est une véritable leçon de cinéma épique.
Télé 2 semaines par Emilie Leoni
Matt Reeves clôt la trilogie en une sorte d’ »Apocalypse Now » version primates, puissant, désespéré et viscéral. Un sommet d’émotion et de maîtrise.
aVoir-aLire.com par Frédéric Mignard
Le film, (…) sait se garnir de scènes impressionnantes par moment, (…) Mais c’est toujours dans l’intimité et la pugnacité des conflits intérieurs qu’il est le plus prenant. Peut-être parce que les singes, notamment César, joué avec excellence par Andy Serkis en motion capture, ne sont jamais apparus aussi humains et aussi proches des préoccupations de notre époque.
Closer par La Rédaction
Un vrai blockbuster, parfait en cette période estivale.
Ecran Large par Simon Riaux
Hybridant Apocalypse Now et L’Ancien Testament, ce troisième volet de La Planète des Singes s’impose comme le sommet de cette relecture soignée et cinéphile.
Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
La qualité du scénario, qui leste d’une densité de réflexion l’histoire racontée, s’enrichit des nuances que les progrès de l’animation numérique et des effets spéciaux, d’une exceptionnelle facture, apportent à une action de bout en bout haletante, et où, dans cette atmosphère d’apocalypse, passe l’ombre des dictatures militaires et des camps d’extermination.
Le Figaro par Eric Neuhoff
Le troisième et ultime volet de la saga mêle habilement spectaculaire et émotion. Un bel hommage à la légende de Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche par Barbara Théate
Malgré les effets spéciaux, « Suprématie » s’impose comme un grand classique hollywoodien, dans son souffle épique et sa mythologie. La métaphore de notre société saute aux yeux, avec un manque d’empathie et une peur de l’autre qui conduisent à la fin de l’humanité.
Le Parisien par La Rédaction
Très sombre, inquiétant par moments et bourré de suspense, ce nouveau volet de « La Planète des Singes » offre, sur le fond, une belle réflexion sur la notion de différence et dresse d’étonnantes passerelles avec la saga d’origine des années 1970.
Les Fiches du Cinéma par Aude Jouanne
Matt Reeves enrichit la structure de ce film d’action classique mais rigoureusement construit d’un sous-texte allégorique puissant.
Les Inrockuptibles par Jacky Goldberg
Avec ce troisième épisode, « La Planète des singes » s’affirme, haut la main, comme la meilleure franchise américaine des années 2010.
Ouest France par Sylvestre Picard
Un film de guerre brutal, doublé d’un triomphe technique – les singes sont encore plus hallucinants de réalisme qu’avant.
Première par Sylvestre Picard
Avec son leader mystique au crâne rasé dirigeant des soldats dingos aux treillis bardés de slogans comme « un bon singe est un singe mort », l’appropriation d' »Apocalypse Now » et « Full Metal Jacket » par « La Planète des singes – Suprématie » est beaucoup plus satisfaisante que celle, superficielle et toc, de « Kong : Skull Island » au printemps dernier.
Public par Florence Roman
Dans ce volet final de la trilogie, le singe leader infiniment humain nous touche comme jamais, grâce au talent d’Andy Serkis, l’acteur qui se cache sous le costume de ce héros pas comme les autres.