« Je suis ton homme », un film de Maria Schrader.

 Vendredi 16 août à 20h55 sur  Arte

Avec Dan Stevens, Maren Eggert, Sandra Hüller | 1h 45min | Comédie, Drame, Romance, Science Fiction
Synopsis
Alma, brillante scientifique, se révèle être une parfaite candidate pour se prêter à une expérience : pendant trois semaines, elle doit vivre avec Tom, un robot à l’apparence humaine parfaite, spécialement programmé pour correspondre à sa définition de l’homme idéal. Son existence ne doit servir qu’un seul but : rendre Alma heureuse.

La presse en parle :
Le Monde par Clarisse Fabre
Maria Schrader explore la possibilité de l’attachement à une machine. Mis au point par des hommes et des femmes, les robots nous renvoient à notre condition d’êtres « construits », socialement, culturellement. Et la mélancolie du robot existe.

Ouest France par Thierry Chèze
I’m Your Man se déroule dans un climat social peu à peu dominé par une mélancolie aussi attachante que déstabilisante.

Télérama par Frédéric Strauss
Dans le sillage de ce beau personnage, admirablement incarné par Maren Eggert, I’m Your Man ouvre, sans renoncer à l’humour, est une réflexion sur l’être humain et sur le bonheur.

Voici par La Rédaction
Malin et touchant.

L’Obs par Xavier Leherpeur
Tiré d’une nouvelle mais porté par un scénario bancal qui en étire laborieusement les grandes lignes, le film pèche par une mise en scène clinique.

La Croix par Céline Rouden
Maren Eggert a reçu le prix d’interprétation l’année dernière au Festival de Berlin pour un rôle qu’elle investit tout en finesse. Elle lui donne une tonalité mélancolique et pleine d’ambiguïtés, jusque dans son dénouement, rendant son personnage de scientifique psychorigide particulièrement attachant.

Le Figaro par Constance Jamet
Ce naturalisme est au diapason de la performance de Maren Eggert, primée à la Berlinale 2021. La quadragénaire campe une Alma sans regret, ni pitié. Dans la peau de Tom, Dan Stevens, l’ex-bel héritier de Downton Abbey, s’amuse de son profil lisse et fade de gendre idéal et sidère par sa maîtrise de l’allemand.