Mardi 23 février – 20h30 – Salle Frantz Fanon –
Avec Tony Leung Chiu Wai, Maggie Cheung, Rebecca Pan
Nationalités Français, Hong-Kongais
Synopsis :
20 ans après, redécouvrez au cinéma le film romantique ultime, dans une copie restaurée 4K exceptionnelle… Hong Kong, 1962. Mme Chan loue une chambre chez Mme Suen. Le même jour et sur le même palier, s’installe M. Chow. Leurs conjoints sont souvent absents. Un jour, M. Chow et Mme Chan découvrent que leurs époux sont amants. Blessés, ils se fréquentent alors de plus en plus et développent eux aussi une liaison…
La presse en parle :
Aden par Philippe Piazzo
L’histoire d’un frisson à l’écoute d’une mélodie. Une sensation très physique d’être perdu en terrain connu. Un instant d’éternité.
Chronic’art.com par Grégoire Bénabent
(…) derrière cette variation sur le thème éternel du rendez-vous manqué se cache un mélo aux allures expérimentales dont la construction abstraite et sophistiquée n’est pas -bien au contraire- ennemie des larmes.
L’Humanité par Jean Roy
Sublimement, Wong Kar-Wai brasse le meilleur du cinéma mondial, européen comme d’Extrême-Orient, renonçant aux expérimentations formelles de ses derniers titres pour retrouver le classicisme charnel de ses débuts. Il y a là une oeuvre de la maturité à la maîtrise confondante (…)
Le Figaro Magazine par Daniel Toscan du Plantier
(…) une merveille de style, d’élégance, d’émotion subtile et confirme la place dominante en Asie de son auteur et réalisateur Wong Kar-Wai qui, avec une petite dizaine de films, a atteint une exceptionnelle maîtrise de l’écriture cinématographique (…)
Le Journal du Dimanche par Jean-Pierre Lacomme
(…) le film, tout en retenue et d’une rare beauté plastique, est l’un des plus sensuels de ces dernières années.
Le Monde par Jacques Mandelbaum
Mis en scène dans une veine sensuelle et pointilliste (…), le film évoque une gravure où les étoiles chinoises Maggie Cheung et Tony Leung (…) semblent ressusciter les figures sublimes et langoureuses de l´amour courtois.
Le Nouvel Observateur par Pascal Mérigeau
Combien de films comme celui-ci voit-on dans une vie? Quatre, cinq, davantage, moins peut-être? Peu importe, «In the Mood for Love» est unique. Unique comme tous les films parfaits.
Le Parisien par Pierre Vavasseur
Délicatesse, grâce et précision… Voilà l’un des plus grands films de l’année.
Les Echos par Annie Coppermann
Un rêve. De douceur, de nostalgie, de tristesse, d’exquis raffinement (…). Une ode à la fois grave et chatoyante à la mélancolie des amours interdites, un long poème ciselé d’images d’une sophistication légère et d’une beauté parfaite.
Positif par Philippe Rouyer
La mise en scène est un éblouissement. Au point qu’on ne serait tenté de ne retenir que cela (…). Mais à trop vanter la forme, on finirait par perdre de vue l’essentiel : une émotion qui ne saurait se réduire à une expérience esthétique.
Télérama par Louis Guichard
Chemin faisant, Wong Kar-wai, au sommet de sa virtuosité plastique et au cœur de ses obsessions mélancoliques, rappelle de loin en loin que dans sublimation, il y a sublime.
Urbuz par J-Ph.Tessé
(…) In the mood for love est un immense film sur la déception sentimentale, le regret, le secret, nourri d’un romantisme pur et désuet, d’un kitsch sophistiqué et presque fétichiste, d’une beauté murmurée et incandescente.
Cahiers du Cinéma par Olivier Joyard
(…) le film exalte la nostalgie d’un présent rêver impossible à conquérir, et l’illumine sur un ton élégiaques, images, mélodies chuchotées (…)