Dimanche 26 mars 19h /À Madiana
Houria
Réalisation : Mounia Meddour
Avec : Lyna Khoudri, Amira Hilda Douaouda
France, Algérie | 2023 | 1h38
Synopsis :
Alger. Houria est une jeune et talentueuse danseuse. Femme de ménage le jour, elle participe à des paris clandestins la nuit. Mais un soir où elle a gagné gros, elle est violemment agressée par Ali et se retrouve à l’hôpital. Ses rêves de carrière de ballerine s’envolent. Elle doit alors accepter et aimer son nouveau corps. Entourée d’une communauté de femmes, Houria va retrouver un sens à sa vie en inscrivant la danse dans la reconstruction et sublimation des corps blessés…
La presse en parle :
Ouest France par Gilles Kerdreux
Aussi fort que Papicha.
20 Minutes par Caroline Vié
La sororité est capitale dans ce récit puissant montrant comment un groupe de femmes se soutient pour échapper à des destins difficiles avec autant d’énergie que de créativité.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Lyna Khoudri danse avec grâce, subtilité, intensité.
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
La danse est l’art essentiel à travers lequel s’exprime avec force l’aspiration à la liberté. Lyna Khoudri danse avec grâce, subtilité, intensité.
Le Journal du Dimanche par Alexis Campion
Une traversée solaire et tragique portée par de belles actrices.
Le Parisien par La Rédaction
Très dur et très doux, réaliste et poétique, « Houria » ne livre pas seulement un portrait de femme mais d’une génération qui essaie d’avancer dans une société qui les veut invisibles et soumises. Lumineux.
Les Echos par Adrien Gombeaud
Sans dégager l’énergie du premier long-métrage de Mounia Meddour, « Houria » reste porté par un regard à la fois ébloui et cruel sur l’Algérie d’aujourd’hui. Mélo baigné de mer, le film laisse une impression brûlante, à la fois douloureuse et généreuse.
Les Fiches du Cinéma par Michael Ghennam
M. Meddour narre les blessures de l’Algérie à travers le corps dansant de L. Khoudri, dont l’interprétation silencieuse est l’une des plus touchantes à ce jour.
Marie Claire par Emily Barnett
Un portrait intense porté par l’incandescente Lyna Khoudri.
Positif par Yannick Lemarié
On ne saurait trop insister sur la capacité de Mounia Meddour à mettre ses personnages en mouvement, à organiser leurs déplacements jusqu’à dessiner une chorégraphie où l’intime, l’élémentaire et le social se mêlent.
Sud Ouest par Stéphane C. Jonathan
Le dilemme de l’exil, l’insupportable amnistie qui a suivi la « décennie noire » (1991-2002), « Houria » embrasse la réalité algérienne dans une large complexité, mais toujours avec générosité.
Télé Loisirs par Yoann Jenan
Presque sans parler, Lyna Khoudri irradie l’écran dans une ode poétique à la reconstruction et à la sublimation des corps et des esprits meurtris.
Cahiers du Cinéma par Fernando Ganzo
Khoudri retrouve une rare harmonie qui unifie tous les éléments du film – surtout quand celui-ci intègre la blessure permanente du pays à travers une série de personnages de femmes brisées par la guerre et le terrorisme. (…) Danseuse étoile et star du cinéma se mêlent dans un même et mystérieux talent : n’avoir besoin de rien pour faire briller ce qui les entoure.