Mercredi 15 juin 20h 30 Tropiques-Atrium
Marion Cotillard, Golshifteh Farahani, Melvil Poupaud
La presse en parle :
Bande à part par Anne-Claire Cieutat
Rarement un film aura exprimé avec autant de clarté qu’il n’existe aucune raison valable pour haïr quelqu’un au-delà de soi-même.
Le Figaro par Eric Neuhoff
Cela s’appelle la grâce. Desplechin maîtrise son sujet de A jusqu’à Z. Les images sont sa langue naturelle. Il n’a pas peur des mots non plus. C’est un athlète complet du cinéma. On pensait qu’il était l’héritier de Truffaut. Il est en train de devenir notre Bergman.
Les Echos par Adrien Gombeaud
Un an après « Tromperie », Arnaud Desplechin revient sur un terrain familier et les décors de Roubaix. Entre mélodrame et western, le cinéaste éclaire encore un puits de sentiments enfouis. Histoire d’une haine inexpliquée, « Frère et Sœur » est l’un de ses plus beaux films.
Positif par Eithne O’Neill
Faisant écho à Rois et Reine et à Un conte de noël, Frère et Sœur innove par la clarté d’une ligne épurée qui ouvre sur un apaisement possible.
Public par Sarah Lévy-Laithier
Un drame profondément intime et bouleversant.
Voici par La Rédaction
Déchirant.
aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
Tout le cinéma de Desplechin est contenu dans ce seul film (la famille, la mort, la maladie, le poids des héritages, les non-dits, l’ambivalence des sentiments, Roubaix, la littérature etc.) qui résonne peut-être comme un récit autobiographique.
Cahiers du Cinéma par La Rédaction
La beauté de Frère et soeur a rendu urgent notre désir de rencontrer Arnaud Desplechin.
Closer par La Rédaction
Un duel/duo de comédiens bien dirigés et justes.
Elle par Marguerite Baux
Par la grâce du duo Marion Cotillard/ Melvil Poupaud, Arnaud Desplechin revient sur ses personnages de frère et soeur ennemis pour tenter de les réconcilier.
L’Obs par Sophie Grassin
Le film, où l’on vide l’appartement des parents en compulsant l’album de famille comme dans le documentaire « l’Aimée » (2007), solde les comptes du passé et des batailles enragées. La projection possible vers un ailleurs. Un miracle rendu possible par la grâce des deux acteurs.
La Croix par Céline Rouden
Arnaud Desplechin renoue avec la veine familiale dans ce drame flamboyant et infiniment humain qui voit un frère et une sœur, séparés depuis vingt ans par une haine tenace, se retrouver au chevet de leurs parents.