Vendredi 30 août à 21h sur France 5, le film le plus récompensé de tous les temps
Avec Michelle Yeoh, Ke Huy Quan, Stephanie Hsu, James Hong, Jamie Lee Curtis, Jenny Slate et Harry Shum Jr
31 août 2022 en salle | 2h 19min | Action, Comédie, Drame, Arts Martiaux, Science Fiction
Synopsis :
Evelyn Wang est à bout : elle ne comprend plus sa famille, son travail et croule sous les impôts… Soudain, elle se retrouve plongée dans le multivers, des mondes parallèles où elle explore toutes les vies qu’elle aurait pu mener. Face à des forces obscures, elle seule peut sauver le monde mais aussi préserver la chose la plus précieuse : sa famille.
Le film est remarqué pour son originalité, sa réalisation et son jeu d’acteur. C’est aussi par la représentation de réflexions philosophiques telles que l’existentialisme, le nihilisme et l’absurde et par l’analyse des thèmes communs que sont la dépression, l’identité et le choix que le film se démarque. Véritable « comédie familiale engloutie dans un blockbuster hypnotique » selon Le Monde, le film rapporte lors de sa sortie 112 millions de dollars, devenant le premier film A24 à franchir la barre des cent millions.
Everything Everywhere All at Once est, selon le site IGN, le film le plus récompensé de tous les temps. Il reçoit lors de la 95e cérémonie des Oscars onze nominations et en obtient sept, ce qui fait de lui le film le plus récompensé de la cérémonie. Il remporte les Oscars du meilleur réalisateur, du meilleur scénario original, du meilleur montage. Michelle Yeoh est sacrée meilleure actrice, tandis que Ke Huy Quan et Jamie Lee Curtis sont récompensés par les Oscars des meilleurs seconds rôles, masculin et féminin. Enfin, le film obtient la récompense suprême en remportant l’Oscar du meilleur film.
La presse en parle :
Dernières Nouvelles d’Alsace par La Rédaction
Un film qui réussit le tour de force d’être émouvant, drôle et visuellement fou. Immanquable.
Filmsactu par Pierre Champleboux
Véritable déclaration d’amour au septième art pleine de trouvailles et de bizarreries génialissimes, Everything Everywhere all at once est le genre de claque cinématographique qui fait incroyablement du bien. Le Multiverse comme vous ne l’avez jamais vu sur grand écran.
Franceinfo Culture par Margaux Bonfils
Une œuvre complète, qui innove et s’amuse en sortant des codes classiques du film d’action.
GQ par Adam Sanchez
Un film inclassable, qui explore une multitude de genres du cinéma avec une gourmandise jamais factice ou opportuniste.
Le Dauphiné Libéré par La Rédaction
Porté par une Michelle Yeoh virtuose et un casting impliqué (de la légendaire Jamie Lee Curtis à Ke Huy Quan, ancien des Goonies , qu’on redécouvre ici), Everything Everywhere All at Once vaut bel et bien l’attente. Une folie à ne pas rater.
Le Parisien par La Rédaction
Au final, on rit beaucoup, on est bluffé par une telle créativité, et on est ému par les conséquences de ce voyage virtuel pour cette mère de famille, qui pourraient tous nous concerner.
Libération par Camille Nevers
L’entreprise de série B en roue libre des Daniels fait l’expérience monstre d’un ciné-Babel-Bagel, dans la greffe frankensteinienne exultante de Bollywood et des animes japonais, de la culture geek, du cinéma de kung-fu, du non-sens et du clip, du film d’auteur hongkongais, du jeu vidéo et des réalités virtuelles. Mais la force démesurée de Everything Everywhere… est de rappeler cela : que le monde a désespérément besoin d’une comédie à sa mesure.
Mad Movies par François Cau
Avec Everything Everywhere All At Once, où les idées les plus indéfendables se succèdent à un rythme effréné afin de décupler la puissance émotionnelle de l’expérience, les « Daniels » ne se contentent pas d’un film-somme : ils créent, devant nos yeux ébahis et humides, le film-multiplication.
Ouest France par François Léger
Un ovni fascinant.
20 Minutes par Caroline Vié
Ces aventures un tantinet foutraques ne laissent pas une seconde de répit au spectateur en métamorphosant son héroïne en patronne de laverie, en danseuse, en star de cinéma ou en cuisinière mais surtout en cheffe d’une famille au bord de l’implosion.
CinemaTeaser par Aurélien Allin
Sous l’influence des Wachowski, une exploration du multivers dont la générosité et la folie sont à la fois les immenses qualités et les talons d’Achille.
Écran Large par Antoine Desrues
Everything Everywhere All at Once réussit l’exploit d’être un pur chaos organisé, un bijou d’orfèvrerie tourné vers le n’importe quoi pour pleinement embrasser son délire cosmique… et revenir à la simple échelle de ses touchants personnages. Brillant.
Femme Actuelle par La Rédaction
Éclatant, ébouriffant, tout sauf ordinaire.
L’Humanité par Cyprien Caddeo
Le film constitue un terrain de jeu cinématographique, s’autorise une pure scène d’action à la Bruce Lee, bifurque dans le grand drame hollywoodien, embraye sur de l’expérimental et du muet… Pop et déjanté.
L’Obs par Nicolas Schaller
Ce serait la porte ouverte au grand n’importe quoi si les Daniels n’adossaient leur ambition épique digne de « Matrix », leur folie « montypythonesque », leur approche bricolo-surréaliste à la Michel Gondry et leur dextérité inouïe au parcours émotionnel d’Evelyn, interprétée par l’époustouflante Michelle Yeoh (…).
La Voix du Nord par Christophe Caron
Au final, Everything… s’adresse à un public 2.0 gavé d’informations dans un monde en plein chaos, mais s’attache à brosser, grâce à la puissance du cinéma, le portrait intime et émouvant d’une femme en quête de réconciliation.