« En Terre d’ élections présidentielles », « Le péril d’une Terre souffrante » & Perdition d’une tuerie souffrante.

— Par Myrna Nerovique —

En Terre d’ élections présidentielles

Belle Terre que je n’ai jamais connue.
Etats-Unis, ne suis-je point une parvenue ?
Je ne verrai jamais point Clinton ou Biden ;
Ma combativité actuellement réellement traîne.

Trump, s’envole vers d’autres horizons,
Tandis que je me mêle enfin de mes oignons.
Je me goinfre d’actualités.
Dieu sait, que je ne puis m’en priver.

Les élections s’en vont encore de plus belle.
La médiatisation s’en veut sensationnelle.
L’effervescence de cette tuerie en perdition,
S’en déguise comme une malédiction.

La perle de nuit s’endort dans mes bras,
Et, je compte alors chacun de mes pas.
Mon enfant dort alors profondément,
Je n’ai plus, alors, nul tourment.

Le péril d’une Terre souffrante.

Face à cette guerre civile écologiste,
Il n’y avait point plus d’arrivistes.
La Terre perdait de sa superbe,
Point plus de fleurs ou de fraîche herbe.

La fête se mouvait d’un sens,
De l’autre, il y avait la violence.
Le débat écologiste détruisait l’antre.
Jolie, perverse, diantre !

La vie humaine s’invectivait d’incohérences,
Dans toute cette perdition de malveillance.
La Terre va -t-elle encore se flétrir ?
Quand allons-nous donc mourir ?

Le réchauffement climatique devrait nous alerter.
Quand ce cauchemar, pourra-t-il s’arrêter ?
La douce rose du matin,
Se flétrit sans lendemain.

Perdition d’une tuerie souffrante.

Trump, pourrais-tu revenir sur l’estrade,
Et, annihiler une mascarade ?
Le monde va-t-il s’écrouler ?
Je ne puis que m’en affairer.

La nuit, Israël m’apparait en rêve.
Il n’y aurait-il donc aucune trêve ?
Biden, serait-il la solution ?
Je cherche mon pain et mon oignon.

La bonté du monde devient-elle inouïe ?
Qu’en saurais-je encore, pardi !
Dieu m’intime à la confiance,
Dans une populace de malveillance.

La souffrance de la population persécute ma chair,
Et, je ne puis donc me taire.
Tandis que le cyclone gronde,
Je m’isole de la beauté du monde.

Et, dans les tribulations de mon coeur,
Je m’intime alors ce doux bonheur.

 

NEROVIQUE Myrna