Mardi 2 juillet 2019 à 19h V.O. Madiana
De Pedro Almodóvar
Avec Antonio Banderas, Asier Etxeandia, Leonardo Sbaraglia
Genre Drame
Nationalité Espagnol
Synopsis :
Une série de retrouvailles après plusieurs décennies, certaines en chair et en os, d’autres par le souvenir, dans la vie d’un réalisateur en souffrance. Premières amours, les suivantes, la mère, la mort, des acteurs avec qui il a travaillé, les années 60, les années 80 et le présent. L’impossibilité de séparer création et vie privée. Et le vide, l’insondable vide face à l’incapacité de continuer à tourner.
La presse en parle :
Madinin’Art par Roland Sabra
Entre auto-portatrait et auto-fiction Almodóvar dans son éternel hymne au désir traversé par le temps qui passe est égal à lui-même : ce que l’on aime dans l’autre ne serait-il simplement que ce qu’on y retrouve de soi?
20 Minutes par Caroline Vié
Ce film passionnant, l’un des meilleurs Almodóvar (comme l’appelle Antonio Banderas) depuis longtemps suit la lente réconciliation du héros avec un passé tumultueux après ses retrouvailles avec un comédien avec lequel il s’était brouillé depuis plus de vingt ans.
Cahiers du Cinéma par Jean-Sébastien Chauvin
L’éclatante réussite de Douleur et Gloire confirme, après Julieta, le regain de puissance émotionnelle du cinéma de Pedro Almodóvar.
Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Autofiction à l’instar de « 8 ½ » de Fellini, son film le dévoile et le dissimule pour en faire une œuvre romanesque achevée, d’une beauté visuelle époustouflante.
Culturopoing.com par Maryline Alligier
La première force du film d’Almodovar est d’être dans le double mouvement, intérieur et antérieur. Parce que « Douleur et Gloire » ramène peut-être le cinéma à sa forme originelle : une reconstruction du souvenir. Peu importe que le souvenir soit intime ou non. Almodovar pose cette question essentielle : et si le cinéma seul peut « sauver quelque-chose du temps où l’on ne sera plus ».
Elle par Françoise Delbecq
Dans un décor de couleurs vives, chères à son univers, on rend hommage au désir, lui seul fait la loi. Et Pedro Almodovar si mélancolique soit-il en est le roi.
La Septième Obsession par Adrien Valgalier
Douleur et gloire est une étape essentielle dans la filmographie de Pedro Almodóvar. À la fois prolongement et synthèse des obsessions du cinéaste, ce film touche par son authenticité, sa générosité et son infinie tendresse.
La Voix du Nord par Christophe Caron
Pedro Almodóvar livre un bouleversant autoportrait semi-fictif et offre au comédien Antonio Banderas son meilleur rôle.
LCI par La Rédaction
Un chef d’ouvre.
Le Monde par Thomas Sotinel
Avec son dernier long-métrage, en compétition à Cannes, le cinéaste espagnol livre son film le plus achevé depuis « Volver », et le plus étourdissant depuis « Parle avec elle ».
Le Nouvel Observateur par Nicolas Schaller
Au sens littéral : un chef-d’œuvre.
Le Parisien par Catherine Balle
Porté par un Banderas magistral, le film est à l’image de ses décors aux couleurs explosives et aux géométries psychédéliques : exubérant, luxuriant et flamboyant.
Les Inrockuptibles par Gérard Lefort
Dans un geste cinématographique d’une allègre mélancolie, le cinéaste espagnol met en scène ce qui a formé son imaginaire en évitant l’écueil de la complaisance.
L’Express par Eric Libiot
Le cinéaste espagnol revient en compétition avec l’un de ses plus beaux films, Douleur et gloire. Il y parle de lui et de lui. Mais avec grâce et intelligence.
Positif par Ariane Allard
[…] généreux, précis, inspiré.
Télérama par Louis Guichard
Un cinéaste vieillissant se plonge dans les méandres de son passé… Autobiographie ou fiction ? L’Espagnol brouille les pistes autant qu’il se dévoile. Avec brio.