Lundi 14 et mercredi 16 juin à 19h30 à Madiana
Par Lucas Belvaux,
Avec Gérard Depardieu, Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Synopsis :
Ils ont été appelés en Algérie au moment des « événements » en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d’autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies. Mais parfois il suffit de presque rien, d’une journée d’anniversaire, d’un cadeau qui tient dans la poche, pour que quarante ans après, le passé fasse irruption dans la vie de ceux qui ont cru pouvoir le nier.
La presse en parle :
Madinin’Art par Roland Sabra
Loin de tout manichéisme, un film sur ce refoulé colonial qui toujours fait retour et insiste, sur l’impossible saisie d’un réel enfoui dans le silence des mots. À voir pour que le passé se constitue en histoire.
20 Minutes par Caroline Vié
Gérard Depardieu a trouvé un réalisateur à sa mesure avec Des hommes.
CNews par La rédaction
A l’aide de flashbacks et porté par le texte de Laurent Mauvignier sur lequel le long-métrage s’appuie, Des hommes raconte l’histoire de ces appelés murés dans le silence qui ne parviennent pas à oublier l’horreur, et peinent à se reconstruire.
Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
La guerre est dénoncée comme manipulation des consciences, effacement de l’individu au profit de la raison d’État. Lucas Belvaux donne priorité au récit sur la forme, il s’efface pour mieux dénoncer la grande histoire qui écrase la petite.
Femme Actuelle par La Rédaction
Un film puissant sur les ravages de la guerre.
L’Humanité par Sophie Joubert
Adaptation fidèle du roman, Des hommes repose sur des acteurs impressionnants dont les voix en disent autant que les visages, filmés en gros plans
La Croix par Céline Rouden
Lucas Belvaux signe une très belle adaptation du roman de Laurent Mauvignier sur les traces qu’a laissées le conflit algérien dans la mémoire des appelés.
La Voix du Nord par Christophe Caron
Lucas Belvaux signe un film fort sur la guerre d’Algérie, sur le mal qu’elle a fait aux appelés qui y ont combattu, leur vie qui commençait à peine, leur famille en France qui n’y a rien compris.
Le Nouvel Observateur par Jérôme Garcin
L’image de Belvaux est si juste, si nette, qu’elle ne distingue pas le passé du présent, tous deux comme enlisés dans un bourbier.
Le Parisien par Catherine Balle
Magnifique, le long-métrage sonde l’expérience de ces individus et leurs stigmates, intimes et collectifs.
Marianne par Olivier De Bruyn
Un film fiévreux sur la France et ses contradictions.
Ouest France par Gilles Kerdreux
Lucas Belvaux reste dans son cinéma de l’humanité. Et ça marche toujours aussi bien.
Transfuge par Corinne Renou-Nativel
[…] Lucas Belvaux prend à bras-le-corps l’héritage moral et historique de la guerre d’Algérie, se débattant avec un récit parcellaire et douloureux. Car c’est bien un fascinant récit du corps que filme d’abord le réalisateur belge.
Télérama par Samuel Douhaire
Une narration virtuose.
Voici par La Rédaction
Des hommes restitue avec pudeur et lyrisme ces destins brisés par la guerre et les fantômes qui un jour se réveillent. Poignant.
Bande à part par Isabelle Danel
Un grand film humble et droit.
Closer par La Rédaction
Depardieu, Frot et Darroussin sont parfaitement épaulés par de jeunes talents.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Gérard Depardieu est l’un des soldats rongés par un passé qui ne veut pas passer, dont la jeunesse fut bousillée par une horreur indicible : c’était la guerre, en Algérie.