un film de Rubaiyat Hossain
un film de Thierry Demaizière, Alban Teurlai
un film de Elia Suleiman
un film de Kenji Mizoguchi
Dates des projections : ci-dessous
Où se trouvent les meilleures places dans une salle de cinéma, celles qui permettent de profiter le mieux du son et de l’image d’un film ? Plusieurs experts interrogés par des médias américains répondent.
La place de cinéma parfaite existe-t-elle ? Et si oui, quel fauteuil choisir pour profiter au mieux de l’image et du son du film projeté à l’écran ?Le magazine américain spécialisé dans l’actualité scientifique Popular Science a tenté de répondre à ces questions. Pour y voir plus clair, les journalistes de la revue ont demandé à Joe Muto, le chef projectionniste des salles de cinéma Nitehawk, à New York, aux États-Unis, son avis sur la question.
Selon lui, les meilleures places sont situées… Au centre de la salle. Pile en face de l’écran.
Une question de confort
En choisissant cet emplacement, « vos yeux se fixent sur le centre de l’écran », résume-t-il. Conséquence, moins de fatigue oculaire, que vous regardiez dans le coin droit ou le coin gauche de celui-ci.
Et puis le centre de la salle, c’est également plus confortable, souligne-t-il.
Dates des projections
Lundi 9 décembre à 19h et Mardi 10 décembre à 19h 30 Madiana
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« Made in Bangladesh »De Rubaiyat Hossain Synopsis : La presse en parle : 20 Minutes par Caroline Vié aVoir-aLire.com par Laurent Cambon Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
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Jeudi 12, dimanche 15 & mardi 17 décembre 2019 à 19h 30 à Madiana |
« Lourdes » un film de Thierry Demaizière, Alban Teurlai Genre Documentaire Synopsis : La presse en parle : Elle par Françoise Delbecq Le Figaro par Marie-Noëlle Tranchant
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Mercredi 11 décembre 2019 à 19h 30 Madiana.
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« Martin Eden » un film de Pietro Marcello d’après l’oeuvre de Jack London De Pietro Marcello Synopsis : La presse en parle : aVoir-aLire.com par Laurent Cambon Culturopoing.com par Laura Tuffery et Emmanuel Le Gagne
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Vendredi 13 & Jeudi 19 décembre 2019 à 19h 30. Madiana
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«It Must Be HeavenAvec Elia Suleiman, Gael García Bernal, Tarik Kopty Genres Comédie, Drame Synopsis : ****** “L’homme qui trouve sa patrie douce n’est qu’un tendre débutant ; “Où s’envolent les oiseaux après le dernier ciel ?” Note d’intention :
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Mercredi 18 décembre 2019 à 19h 30 Madiana
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« La rue de la honte »un film de Kenji Mitzouchi Avec Machiko Kyô, Ayako Wakao, Michiyo Kogure Synopsis:
aVoiraLire: par la rédaction La mise en scène précise, sèche, élégante, freine la surcharge émotionnelle et l’emphase rhétorique pour observer sans ciller, de très près mais avec une espèce de recul, des situations qui invitent à la surenchère, Les Inrockuptibles par Serge Cauvin Dans son dernier film, chronique d’un bordel menacé de fermeture, Mizoguchi se surpasse pour dépeindre la brutalité des rapports sociaux avec une crudité inouïe. Le déchirant lyrisme des films à costumes laisse place à une violence sèche qui coupe le souffle. Plus que jamais, la prostitution, LE sujet du cinéaste, se révèle non la métaphore Libération par Iasbelle Potel Il y a du Renoir (amour des femmes et des modèles), du Rossellini (tentative de limpidité réaliste) et de l’Antonioni (approche du mystère) chez ce cinéaste résolument tourné vers l’Occident qui, aux côtés d’Ozu et de Naruse, inventa le cinéma au «pays du cinéma sans cinéma», comme le dit Jacques Rancière.[…] Jamais un jugement, une curiosité, une exploitation voyeuriste de leur condition. Rarement un tel sujet aura débouché sur une aussi splendide démystification. Oeil-écran par la rédaction Mizoguchi n’est jamais moralisateur : il ne porte pas de jugement, ne donne pas de solution miracle, son propos est essentiellement humaniste.[…] La Rue de la honte a connu un très grand succès, ce fut le plus grand succès de Mizoguchi des années cinquante. Il était un fois le cinéma par Alain-Michel Jourdat Mizoguchi en donne à voir une description naturaliste à la manière d’un Zola ou d’un Balzac. Comme Zola décrivant le « ventre de Paris », Mizoguchi éclaire avec la même acuité d’observation les « entrailles » d’une maison de plaisirs dont il explore tous les rouages. Télérama par Philippe Piazzo Dans ses films, Mizoguchi sublime ses femmes, qu’il dépeint comme des victimes, bien sûr toujours luttant pour préserver leur dignité, parfois jusque dans la mort. Humiliées par les hommes, écrasées par les conventions sociales, elles semblent appliquer le précepte que le père de Sansho transmet à son fils : ”Sois dur avec toi-même, généreux avec les autres.” Institut Lumière par Jean Douchet Quand Mizoguchi disait qu’avec La Rue de la honte il commençait à comprendre ce qu’on pouvait obtenir du cinématographe, c’est bien dans ce sens-là qu’il faut comprendre son travail : en aucun cas gommer le mélodrame, mais, au contraire, l’accentuer pour en faire surgir la vérité. Il se sert de l’émotion pour dévoiler le réel. Le Monde par Bernard Eisenschitz La beauté même se révèle comme un pion dans les rapports de force : il n’y a rien d’exaltant dans les plans merveilleux d’habillage d’une geisha (Musiciens de Gion) ou de maquillage devant une glace (Les sœurs de Gion, La rue de la honte), car la création de la beauté est un travail au service d’un objectif. |
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