Mardi 2 mai à 18h Tropiques-Atrium
De Florian Heinzen-Ziob
Avec : Malou Airaudo, Clémentine Deluy, Josephine Ann Endicott
Allemagne, Sénégal – 2021 – 1h52
12 avril 2023 en salle / 1h 52min / Documentaire
Synopsis :
Iphigénie en Tauride / Le Sacre du printemps.
Au Semperoper en Allemagne et à l’École des Sables près de Dakar, de jeunes danseurs, guidés par d’anciens membres du Tanztheater de Pina Bausch, revisitent ses chorégraphies légendaires. Pour ces artistes, issus de la danse contemporaine, du hip hop ou du ballet classique, danser Pina, c’est questionner ses limites, ses désirs, et métamorphoser une œuvre tout en se laissant soi-même métamorphoser par elle.
La presse en parle :
Elle par Manou Farine
« Foncez, soyer vous ! », tonne Malou Airaudo. Maintenant, c’est à vous. Vous pouvez faire ce que vous voulez. » Transformés. Et nous aussi.
Franceinfo Culture par Yemcel Sadou
Un moment suspendu à ne pas manquer.
L’Humanité par Muriel Steinmetz
Florian Heinzen-Ziob est parvenu à retrouver l’esprit de la grande dame de Wuppertal, dans les gestes patiemment appris par de jeunes danseurs d’aujourd’hui à Dresde et Dakar.
L’Obs par X. L.
Outre sa manière de capter l’infinie précision des gestes souhaités par feu Pina Bausch, cette œuvre met en avant les origines des artistes. Montrant par le principe de vis-à-vis comment, de l’Europe à l’Afrique, les questions ethniques et politiques demeurent déterminantes dans l’art.
La Croix par Marie-Valentine Chaudon
S’il peine parfois à trouver son rythme entre les nombreux témoignages et les images de danse, le film offre cependant de magnifiques séquences chorégraphiques portées par le souffle unique de Pina Bausch.
Le Figaro par Ariane Bavelier
Ce documentaire s’immisce dans la transmission de deux ballets de la chorégraphe. L’un à Dresde, l’autre à Dakar. D’une passionnante beauté.
Le Monde par M. J.
Dans Dancing Pina, le documentariste Florian Heinzen-Ziob vient étoffer cette jouissance primale, en construisant son documentaire autour d’un montage parallèle, à cheval sur deux continents.
Le Point par Florence Colombani
Tous, néophytes ou fans de la première heure, devraient communier devant Dancing Pina, un documentaire du cinéaste allemand Florian Heinzen-Ziob.
Les Echos par Philippe Noisette
Evitant l’hagiographie, « Dancing Pina » est un film tourné vers le futur. Le passé, sous nos yeux, est affaire de transmission. Ou de passion, c’est selon.
Les Fiches du Cinéma par Gilles Tourman
Via les répétitions d’Iphigénie en Tauride à Dresde et du Sacre du printemps à Dakar, deux chorégraphies emblématiques de Pina Bausch, une immersion dans l’âme et les exigences libératrices de la méthode de la célèbre danseuse. Magnifique et tonifiant.
Les Inrockuptibles par Fabienne Arvers
Là réside tout l’enjeu et la réussite du film : montrer la transmission à l’œuvre, au plus près des êtres, de leurs corps comme de leurs histoires personnelles et de leurs parcours de vie, sur tous les continents.
Libération par Ève Beauvallet
Que transmettre de la danse de Pina Bausch au-delà des pas […] ? Dancing Pina filme cette question et filme un pari : prouver que les œuvres de la grande chorégraphe expressionniste allemande, qui catapulta les définitions de danse et de théâtre dès la mi-temps des années 70, peuvent mouvoir et émouvoir des danseurs d’aujourd’hui nourris de traditions diverses.