Jeudi 9 janvier 2020 Tropiques-Atrium 20h
Un songe…!
Une invocation aux divinités du pouvoir et de la force Obatala ! Notre force, notre énergie créatrice Un appel aux divinités du feu Ogoun ! Nèg fè, qui préside au feu et au fer. Une danse pour les loas, éternels compagnons des moments difficiles.
Le chorégraphe Jeanguy Saintus contribue depuis plus d’une trentaine d’années au rayonnement d’écritures caribéennes contemporaines inventives et audacieuses. La sienne, qui mêle avec justesse danse traditionnelle, moderne et contemporaine, se nourrit avec égard des codes et de l’esthétique vaudou…
Tout comme Bal des Guédés, Hommage à Erzulie, Chants aux divinités de l’eau, Mangaje, Cri des Nago revêt une dimension sacrée et cérémoniale, de l’écriture chorégraphique jusqu’aux costumes des 17 danseurs et musiciens qui partagent la scène.
Saintus utilise son corps comme un instrument d’expression de la richesse de la culture caribéenne contemporaine – The Globe and Mail (Canada)
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Cri des Nago
Jeanguy Saintus
Chorégraphe , danseur et formateur, il a étudié l’anthropologie, la sociologie, les langues, ainsi que la danse tr aditionnelle haïtienne
et les techniques classique, moderne ou contemporaine. Il est l’un des fondateurs de la Cie Ayikodans, qui depuis plus de 20 ans est professionnelle avec son centre et son programme de formation. Avec ses propres techniques afro-contemporaines, il participe au développement de la danse caribéenne.
Ses chorégraphies explorent aussi le vaudou.
Direction artistique : Jeanguy Saintus
Interprètes : Mackenson Israël Blanchard, Sephora Germain, Emmanuel Gérant, Johnnoiry Saint Philippe, Sephora Descollines, Ralph Milord, Maxiana Marie Lourdes Maxi, Daphné Sergile, Markenley Georges, Emmanuel Dutrevil, Junior ou Job Jouissance
Chant : Hadler Chery & Renette Désir
Percussions : Castera Saintil, Dimitry Etienne, Gregory Fanor, Mackendie Léon, Berthony Durosier & Jackson Saintil
Création lumière : Jessica Elliott & arc3design
Costumes : David André, Lisa Crosswell
& Collection Artcho Danse
© crédit photo : Carl Juste | Iris PhotoCollective