Cahiers du Cinéma par Pierre Eugène
Chacune des trois histoires observe un langage chargé au plus haut niveau d’intensité : appel à l’acte (le souvenir encore vivace d’une relation amoureuse), provocations de langage (la lecture déplacée d’un texte indécent dans un bureau de fac), adresses émotionnelles de plus en plus amples (la reconnaissance et le partage des émotions enfouies de l’adolescence).
L’Humanité par Sophie Joubert
On croirait une scène de théâtre, un plateau dépouillé où le verbe est au premier plan. Il faut une grande confiance en ses interprètes et en l’histoire qu’on raconte pour tenir le spectateur en haleine avec un récit de plusieurs minutes à l’arrière d’un taxi, sans autre image que le visage des actrices en gros plan et en champ-contrechamp.
Les Echos par Adrien Gombeaud
Les « Contes du hasard » se déploient dans toute leur majesté en une oeuvre riche, sensuelle et attachante.
Les Inrockuptibles par Bruno Deruisseau
En trois récits et autant de variations post-rohmeriennes, le réalisateur de “Drive My Car” travaille avec une infinie finesse psychologique la question du choix et de la portée décisive de chaque rencontre.
Libération par Sandra Onana
Trois histoires autonomes, où l’on trouve le meilleur du geste portraitiste de Senses, et incidemment, les portraits féminins les plus beaux de l’année, peut-être même les plus modernes.
Ouest France par Thierry Chèze
La grâce absolue.
Positif par Jean-Dominique Nuttens
Cet ensemble de sketches […] confirme l’acuité et la précision absolue d’un cinéaste qui depuis plus de dix ans, de documentaires en fictions hétéroclites, fait du dialogue et de l’écoute entre les individus une éthique autant qu’une matière à invention filmique.
Transfuge par Serge Kaganski
Un nouveau bijou délicatement taillé dans le plus pur minerai humain.
Télérama par Marie Sauvion
Riche de tant de mots qui excitent, caressent, blessent, pèsent ou délivrent, Contes du hasard et autres fantaisies ménage une surprise permanente et permet à son auteur de briller, encore une fois, par sa splendide direction d’acteurs et la netteté de sa mise en scène.
Voici par La Rédaction
De petits dérapages, pleins de charme, d’ironie, de sensualité, de complexité, qui parlent de dépit, de déni et de désir…
20 Minutes par Caroline Vié
Les trois histoires qui composent ce film ont en commun une écriture très fine et un caractère romanesque assuré. Sans oublier le talent rare de Ryusuke Hamaguchi de toujours parvenir à capter le mystère de figures féminines pourtant insaisissables.
Bande à part par Isabelle Danel
Puissance des mots et beauté du regard sont au rendez-vous de cette douce enquête sur nos tumultes intérieurs.
CinemaTeaser par Aurélien Allin
Après le splendide Drive My Car, ce film à sketches pourrait en comparaison apparaître très anodin. Et pourtant…
Critikat.com par Chloé Cavillier
Dans ce beau film fragmenté, la mise en scène de Ryūsuke Hamaguchi accompagne des personnages remontant le temps, transportés par la force douloureuse et libératrice des souvenirs.
Ecran Large par Antoine Desrues
Trois fois plus d’Hamaguchi pour trois fois plus de plaisir ! Contes du hasard et autres fantaisies est une superbe balade rohmérienne, dont la sobriété n’a d’égal que son absolue beauté.
L’Obs par Nicolas Schaller
Trois historiettes autour des jeux de l’amour et du hasard à trois âges de la vie qui confirment l’immense talent de dialoguiste et de directeur d’acteurs du réalisateur de « Drive My Car ».