Lundi 20 novembre à 20H30 | Tropiques-Atrium
23 octobre 2024 en salle | 1h 29min | Documentaire
Synopsis
Tous les jeudis un groupe d’étudiants de l’université d’Ibadan, la plus ancienne du Nigeria, organise un ciné-club, transformant un petit amphithéâtre en une agora politique où s’affine le regard et s’élabore une parole critique.
La presse en parle :
Cahiers du Cinéma par Romain Lefebvre
Coconut Head Generation donne à voir comme rarement quelle peut être la fonction du cinéma : non pas une évasion de la réalité, mais le moyen d’en élaborer une compréhension commune et émancipatrice par des va-et-vient entre les images, les paroles et la société.
Le Monde par Cl. F.
Ce documentaire possède l’élégance de plans silencieux, respirations ou signaux d’alertes adressés au spectateur.
Libération par Didier Péron
L’effet que produit le film tient sans doute à la violente disjonction entre le brio et l’intensité des intervenants et le sentiment de délaissement ou de décadence de la structure qui est censé les porter.
Télérama par Cécile Marchand Ménard
Tous les jeudis au sein de l’université d’Ibadan, dans le sud-ouest du Nigeria, étudiantes et étudiants se retrouvent pour participer à un ciné-club éminemment politique. Le documentariste Alain Kassanda filme leurs débats passionnants sur la décolonisation, le féminisme ou les défaillances du système éducatif… Il brosse ainsi, en creux, le portrait assez puissant d’une génération qui en veut.