Lundi 5 octobre 2020. 18h. Tropiques-Atrium. Salle Frantz Fanon.
Nationalité Français
8 juillet 2020 / 1h 15min / Documentaire
Synopsis:
D’un village iranien au Palais Garnier, d’un hôpital de Villejuif au Sud de l’Algérie, des voix s’élèvent… Quatre cinéastes, Julie Deliquet, Karim Moussaoui, Sergei Loznitsa et Jafar Panahi filment des chants de femmes et évoquent à leur façon, le monde où vit chacune d’elle.
La presse en parle:
Le Monde par Clarisse Fabre
Hasard ou magie du cinéma, ces films, signés respectivement par Sergei Loznitsa (Une nuit à l’Opéra), Karim Moussaoui (Les Divas du Taguerabt), Julie Deliquet (Violetta) et Jafar Panahi (Hidden) résonnent entre eux et donnent corps à un film avec ses personnages de chanteuses, tel un quatuor à cordes… vocales.magie du cinéma, ces films, signés respectivement par Sergei Loznitsa (Une nuit à l’Opéra), Karim Moussaoui (Les Divas du Taguerabt), Julie Deliquet (Violetta) et Jafar Panahi (Hidden) résonnent entre eux et donnent corps à un film avec ses personnages de chanteuses, tel un quatuor à cordes… vocales.
Les Fiches du Cinéma par Adèle Bossard-Giannesini
À l’initiative de la scène digitale de l’Opéra de Paris, quatre courts métrages sont réunis autour de chanteuses, célèbres ou anonymes, adulées ou brimées. Mais quelle que soit la place de ces femmes dans la société, leur voix s’impose à l’écran.
Les Inrockuptibles par Théo Ribeton
Quatre courts métrages sur le thème du chant féminin qui nous font voyager dans le temps et l’espace. […] un ultime plan dont on ne devrait rien dévoiler, sinon qu’il est d’une absolue splendeur.
Libération par Sandra Onana
L’emphase puis le ténu, l’exacerbation lyrique des grandes émotions suivie du dépouillement de chants archaïques : tout cela aurait été terriblement programmatique si « Celles qui chantent » n’accueillait pas ces divers récitals avec ruse, suspense ou humour, en entrelaçant diversement le monde de la scène et des coulisses.
Positif par Bernard Génin
Chacun des deux autres films [Une nuit à l’Opéra de Sergei Loznitsa et Hidden de Jafar Panahi] nous offre au moins un moment magique.
Télérama par François Ekchajzer
L’Opéra de Paris fait découvrir des voix singulières de femmes, dans quatre courts métrages qu’il produit.
Bande à part par Olivier Pélisson
Première incursion de la collection « La 3e scène » dans les salles. Soixante-quinze minutes de déambulation, au gré des sons et vibrations humaines, sous l’œil de quatre metteurs en scène. Un programme estival bienvenu.
Le Nouvel Observateur par François Forestier
Quatre courts-métrages sur un thème : la voix des femmes. Deux sont très réussis. Celui de Loznitsa est un montage des galas à l’Opéra, dans les années 1950, avec de Gaulle, BB, Khrouchtchev, la reine Elisabeth, Pompidou et une bouleversante Maria Callas.
Le Journal du Dimanche par Alexis Campion
Produit par la 3° Scène, la plateforme digitale de l’Opéra de Paris, ce programme nous laisse malgré tout sur notre faim, son format empêchant toute possibilité de développement narratif.
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