Catégorie : Sorties Martinique

Cette année l’art s’invite au carnaval !

Le projet BIAC-réseaux* annonce le carnaval des arts : populaires, vivants, visuels….

Après les vidés venez vivre des nouvelles sensations, et découvrir les performances de cirque contemporain au milieu de la plus grande performance collective de l’île, le carnaval de fort de France.

Ce dimanche et ce mardi gras à partir de 18 heures l’art vous donne rendez-vous sur la place de la Savane et sur le Malecon Deux spectacles mêlant cirque et danse ajoutent de la folie à la folie ,de la voltige au tourbillon et encore plus de fête à la fête.

Dimanche et mardi à 18 heures sur la Savane, La bascule fait monter en l’air le Précieuses, Et Mardi à 19hh sur le Malecon les Caribéennes font du pôle dance sur mât chinois

N’enlevez pas vos masques : au carnaval tout art est permis.

* Un projet de coopération culturell, finance par le fonds INTERREG et mené par la Collectivité Territoriale de Martinique avec des partenaires d’Aruba, Bequia, Guadeloupe, Martinique et Sainte-Lucie.

Principaux temps forts à venir de la BIAC-Réseaux 2023, sur le thème La Plénitude du Vivant :

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La Biennale Internationale d’Art Contemporain de Martinique s’invite au Carnaval dans les rues de Fort-de-France

Dimanche Gras 19 et Mardi Gras 21

La Collectivité Territoriale de Martinique lance la deuxième édition de la Biennale Internationale d’Art Contemporain en plein carnaval de Fort de France.

L’art va vers le public lors de deux spectacles de rue organisés par la CTM avec l’association MétisGwa de Guadeloupe, la Ville de Fort-de-France et le Comité Martiniquais du Tourisme, les dimanche 19 février et mardi 21 février.

Des artistes de cirque et spectacle vivant réunis par l’association guadeloupéenne MétisGwa feront des interventions dans les rues de la capitale après les vidés des jours gras.

L’objectif est d’annoncer la BIAC comme une manifestation d’art contemporain ayant des liens profonds avec l’art populaire, et cela au cœur même de la plus grande performance collective de Martinique : le Carnaval de Fort de France.

Deux Rendez-Vous, à ne pas manquer, dans les rues de Fort-de-France :

Dimanche 19 février à partir de 18h

Des artistes du Plus Petit Cirque au Monde présentent le spectacle « Les Précieuses », sur la place de la Savane, avec deux présentations de cirque contemporain : bascule et voltige en deux courtes présentations de 20 minutes à partir de 18H.

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Au jour le jour…

Cinéma à Madiana

L’horizon : Mercredi 30 à 19h

Liborio : Jeudi 31 à 19h

Théâtre Mercredi 30 – 19h

Moi Fardeau Inhérent

Texte : Guy Régis Jr

Mise en scène, interprétation : Daniely Francisque

(Salle mobile – Saint-Esprit)

Musique Résonnances classiques

Paris Urban Quartet : Vendredi 1er avril – 19h

Ann-Estelle Médouze & L’ensemble Sésame : Samedi 2 avril – 19h

(Salle Frantz Fanon)

 

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La période carnavalesque 2021, révélatrice de dysfonctionnements sociétaux…

— Par Raoul Oliny —
Des décisions des autorités supérieures mal perçues par la population à cause de leur manque de cohérence contextuelle, certaines postures de nos représentants qui n’ont pas nécessairement servi l’unité et la responsabilité politique, un contexte social tendu depuis bien longtemps du fait d’un sentiment d’oppression. Les ingrédients étaient donc réunis pour un carnaval 2021 exceptionnel qui a vu notamment beaucoup d’amateurs de défoulements « san manman san papa » prendre le maquis.

Le 15 décembre 2020, le conseil d’administration du Collectif des Opérateurs de Rue de Martinique (COR) se rassemblait les Présidents des associations adhérentes. Et c’est collégialement que nous avons décidé de ne pas participer, de ne pas organiser les grosses manifestions que des dizaines de milliers de martiniquais ont l’habitude de fréquenter avec grand bonheur chaque année.

Cette décision responsable a été dictée par la volonté de protéger nos membres (2400 acteurs), de protéger nos familles, de protéger le pays… par notre l’expérience du dernier confinement qui a tellement impacté négativement la vie sociale et économique de notre pays.

Certaines de nos associations ont profité de ce temps calme pour s’inscrire dans une démarche d’éducation et de transmission culturelle ; démarche indispensable pour la survie de ce pan de notre patrimoine qui ne se limite pas simplement à une vision de défoulement.

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Covid-19 : aux Antilles, ni l’épidémie, ni les gendarmes n’arrêtent les carnavaliers

A Fort-de-France comme à Pointe-à-Pitre, «vidés» et «déboulés», les traditionnelles fêtes de rues pour le Mardi gras, sont interdits en raison de la pandémie. Mais beaucoup bravent les forces de l’ordre.

Chantant et dansant sous leurs déguisements, des habitants de Fort-de-France et Pointe-à-Pitre ont bravé cette semaine l’interdit de défiler lors du traditionnel carnaval pour cause de Covid-19. Vêtues de rouge et de noir, près de 500 personnes ont défilé mardi soir dans les rues de Fort-de-France, dont les accès étaient pourtant fermés aux carnavaliers. Loup sur le nez mais sans masque sur la bouche, l’un d’eux confie à l’AFP être venu «pour montrer aux autorités que ce n’est pas eux qui décident».

» LIRE AUSSI – Guadeloupe: après un défilé interdit, la préfecture annonce des poursuites

Car ce carnaval est illégal. Chaque jour, depuis dimanche, ils sont des centaines à «courir le vidé». C’est ainsi que se nomment ces déambulations populaires traditionnelles. Covid-19 oblige, elles ont été interdites cette année. La ville a donc été fermée à la circulation tous les après-midi. A la place, la mairie de Fort-de-France et plusieurs associations carnavalesques ont organisé un «carnaval autrement», dans l’enceinte du stade Pierre-Aliker avec une jauge de 5000 personnes par jour.

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Carnaval 2021 : la population martiniquaise commet un acte de résistance pour un vidé covidé

— Par Gilliane Corbin —

Il s’agira d’analyser le mouvement de résistance de la population martiniquaise qui s’est développé face à la décision des autorités, de décrire la division de la classe politique face à la tenue du Carnaval 2021 et de conclure sur la capacité de l’intelligence collective de réinventer une tradition qu’on ne peut arracher au peuple martiniquais.

Le lundi 28 décembre 2020, le maire de Fort-de-France Didier Laguerre, les responsables de la parade du Sud, les représentants des groupes à pied et le préfet de Martinique Stanislas Cazelles ont décidé que les festivités carnavalesques n’auront pas lieu en 2021 en raison de la Covid-19. Cependant, des solutions sont à l’étude afin de maintenir le Carnaval tout en poursuivant les efforts contre la Covid-19. A la fin du mois de janvier, on assiste à l’éclosion d’un mouvement de résistance, de défiance vis-à-vis des autorités sous la forme d’organisation de vidés sauvages dont la publicité s’est faite sur les réseaux sociaux. Ces vidés constituent un espace-temps de totale liberté d’expression. Le dimanche 31 janvier, plusieurs centaines de personnes ont en effet couru le vidé et se sont arrêtées devant la préfecture et le tribunal.

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Alé ? Pa alé ?

— Par Daniel M. Berté —
Anlè an group Watsap personnaj kannaval
Té pran kom diskision si fok kouri vidé
Prèmié ki esprimé sé Medsen-lopital
Kovid tro séléra, Manmay fo pa alé !

Moko-zonbi matjé ki I pa pè misié
Pé pa kontaminé lè’y anlè échas-li
Vidé-a sé ta nou fo kouri an lari
Kovid ou pa Kovid, Manmay fo nou alé !

Karolin-zié-kokli di i bien anmerdé
Mari’y za tro boulé épi boug-la grosi
Pandan konfinman-an i pa té ka soti
I manjé trop, i lou, Manmay fo pa alé !

Matlo-sou ek konpè’y misié Brosé-kléré
Argimanté anlè an zafè tradision
Ki apré konfinman fo ni dékonprésion
Pou moun pa ped lakat, Manmay fo nou alé !

Es zot sonjé malad ki ni difikilté
Lé swagnan ki mélé pas yo mantjé mwayen
An lanné san vidé pou nou sa pa ayen
Déklaré Lom-san-tet, Manmay fo pa alé !

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Visites contées au Mémorial de la catastrophe de 1902

A l’occasion des vacances de fi n d’année, le Mémorial de la catastrophe de 1902 – Musée Frank A. Perret propose des visites contées aux enfants et à leurs parents. En créole ou en français, ces visites vous feront découvrir l’histoire de Saint-Pierre, d’une manière adaptée aux familles.
Visites contées en français tous les jours du mercredi 23 décembre 2020 au dimanche 3 janvier 2021 à 10h.
Visite contée en créole les samedis 26 décembre 2020 et 2 janvier 2021 à 15h.
Inscription obligatoire au 05 96 78 15 16 ou contact@memorial1902.org
Activité à partir de 3 ans
Durée : 45 minutes environ
Tarif : la visite contée est comprise dans le ticket d’entrée
Enfant (- 7 ans) = gratuit
Enfant (7-17 ans) = 6 €
Adulte = 8 €
Le Mémorial de la catastrophe de 1902 – Musée Frank A. Perret a ouvert ses portes le 8 mai 2019, date anniversaire de l’éruption de la montagne Pelée et de la destruction de Saint-Pierre qu’il commémore. Il témoigne de la vie à Saint-Pierre en 1902.
Ce musée municipal de la Ville de Saint-Pierre bénéfi cie du label « Musée de France » décerné par le ministère de la Culture.

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Montagne Pelée : surveiller… équiper et développer

— Par Christian Rapha, maire de Saint-Pierre —
Le nouveau statut de la montagne en vigilance jaune rend urgente la réalisation d’infrastructures pérennes garantissant la sécurité de la population et le développement de la zone. En tant que maire de Saint-Pierre, j’ai pris acte du nouveau statut de la montagne Pelée dont l’activité sismique récente aux dires des spécialistes a justifié le passage en vigilance jaune. Je note que, dans son bulletin de septembre 2020, consultable en ligne, l’OVSM/IPGP indiquait que la vigilance restait verte, en dépit d’une moyenne de 32 séismes/mois au cours des douze derniers mois.

Je retiens que les autorités estiment qu’il n’y a aucun signe précurseur d’éruption.

Je me félicite que cette vigilance jaune soit présentée par les autorités scientifiques et étatiques comme un moyen de renforcer la surveillance de la Montagne, dont il faut à cette occasion rappeler qu’elle n’a jamais cessé d’être en activité.

La communication le 4 décembre autour du nouveau statut de la montagne a été suivie le samedi 5 de la signature d’une convention entre la CTM et l’OVSM/IPGP et l’annonce de la tenue d’un colloque international sur ces questions début 2021.

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Le Mémorial de la catastrophe de 1902|Musée Frank A. Perret rouvre ses portes mardi 8 décembre 2020

La collection présentée dans l’exposition permanente du Mémorial de la Catastrophe de 1902 | Musée Frank A. Perret témoigne des éruptions de la montagne Pelée et de la destruction de la ville de Saint-Pierre.
La collection présentée dans l’exposition permanente du Mémorial de la Catastrophe de 1902 – Musée Frank A. Perret témoigne des éruptions de la montagne Pelée et de la destruction de la ville de Saint-Pierre.
Ce lieu a été pensé pour répondre aux attentes de publics diversifiés, pour favoriser la construction d’un patrimoine commun en apportant informations et connaissances en étant en prise directe avec une recherche en construction. Il se veut un lieu d’ancrage mémoriel et un instrument de rayonnement culturel en s’adressant d’abord à l’humanité de chacun des visiteurs et en valorisant une histoire et une mémoire partagée, ouverte sur le monde. Il contribue par sa qualité architecturale et par les ambitions d’une muséographie à la signature contemporaine au rayonnement de la Ville d’art et d’histoire.
L’HISTOIRE
Dès son arrivée Frank A. Perret voit l’intérêt que peut apporter un musée volcanologique à la Martinique. Sur les traces des travaux du professeur Lacroix, il souhaite continuer l’étude de la montagne Pelée et de ses éruptions, capitale pour l’avancée de la science volcanologique.

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Festival International de Randonnées Martinique

Édition de l’année 2020 du 13 au 30 août

Compte tenu des restrictions gouvernementales concernant la pandémie de coronavirus, et les mesures sanitaires devant être appliquées dans la pratique de la randonnée pédestre, et en accord avec les recommandations de la Fédération Française de Randonnée Pédestre; nous nous voyons dans l’impossibilité de maintenir l’édition 2020 du festival international de la Randonnée Pédestre de la Martinique, prévue initialement dans le courant du mois de Juin 2020.

Cependant, entre annulation pure et simple et un report de la manifestation, nous choisissons de reprogrammer cet événement entre le 13 et le 30 Août 2020.

Réservez vos dates ! Inscription et règlement en ligne !

Le Comité organisation du FIRM 2020

Programme

Mercredi 19 => La plaine du Lamentin

Le « Plat pays » de la Martinique… Une zone à forte valeur patrimoniale autour de l’habitation Gaigneron et plusieurs autres sites à découvrir.

Kms : 13k | D+ : +77 | Niv : 3 | Durée : 4h00

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Le Fort Saint-Louis de nouveau ouvert aux visites

Le Fort Saint-Louis a rouvert ses portes. Pour la billetterie qui est aussi le point de départ des visites (1h15-1h30), il faut se rendre dans les locaux du Comité de tourisme centre ou CTC. Attention, les enfants sont acceptés à partir de 6 ans.

Visite du mardi au vendredi/2 départs : 9h et 11h/Tarifs : 8 euros adulte et 4 euros enfant (6-18 ans)/CTC : 29 rue Victor-Hugo à Fort-de-France Contact : 0596.60.27.73

Fort Saint-Louis est un fort militaire français de type Vauban situé à Fort-de-France, en Martinique, base navale de la Marine nationale aux Antilles.
Histoire
Vers 1638, Jacques Dyel du Parquet, lieutenant général de la Martinique depuis le 2 décembre 1637, entreprend de bâtir des palissades en planches pour fortifier la presqu’île rocheuse qui s’avance dans la très convoitée baie du « Cul-de-Sac-Royal » et protège le mouillage du Carénage où les vaisseaux viennent se mettre à l’abri des ouragans. Il ne s’agit alors que d’un simple fortin de bois. En 1666, une palissade et un fossé sont construits sous l’impulsion du gouverneur général des Isles et Terre Ferme de l’Amérique, Jean-Charles de Baas.

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Art-thérapie : des patients en psychiatrie font leur carnaval à Rio

Un joyeux défilé qui réunit plusieurs centaines de personnes, patients, membres de leurs famille, personnel soignant et badauds.

Aux abords d’un hôpital psychiatrique de Rio de Janeiro, il est difficile de distinguer les patients des autres fêtards en pleine folie du carnaval.

Depuis 20 ans, l’Institut municipal Nise da Silveira, hôpital de référence au Brésil, ouvre ses portes pour le cortège Loucura suburbana (la folie des faubourgs), à Engenho de Dentro, quartier populaire du nord de Rio, un joyeux défilé qui réunit plusieurs centaines de personnes, entre patients, membres de leurs famille, personnel soignant et badauds.

« C’est ça le carnaval : tout le monde fait ressortir sa folie »

Costumes multicolores, paillettes à gogo, pas de danse de samba du haut d’échasses : un authentique « bloco », cortège musical comme il en existe des dizaines d’autres à Rio, mais avec en plus un vrai esprit d’inclusion et de mise en valeur de la diversité.

« Qui est fou et qui ne l’est pas dans notre société? C’est ça le carnaval : tout le monde fait ressortir sa folie », dit à l’AFP Adriana Carvalho Lopes, enseignante de 46 ans déguisée en diable, avec des cornes, un trident et une cape rouge.

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Carnaval de Rio : Une pétition contre un défilé présentant un Jésus féminin au visage noir

Rio de Janeiro (AFP) – Dans la pénombre austère d’un temple évangélique de Rio de Janeiro, Eleanor Teresa Sousa se sent plus proche de Dieu, mais surtout le plus loin possible de l’exubérance charnelle du carnaval, dont les défilés commencent dimanche.

Cette Brésilienne de 75 ans fait partie des chrétiens conservateurs qui considèrent que la plus grande fête populaire du pays est synonyme de péché et que toutes ses références religieuses sont blasphématoires.

Eleanor se dit « profondément offensée » par le thème choisi pour le défilé Mangueira, école de samba championne en titre du carnaval.

Dimanche soir au sambodrome, Mangueira va dépeindre avec des chars fastueux et des costumes multicolores le retour de Jésus sur terre, prêchant un message de tolérance dans une favela, ces quartiers pauvres de Rio minés par la violence.

Un Jésus incarné par une femme « au visage noir et de sang indigène », comme le décrit la chanson qui sera entonnée en boucle lors du défilé.

« Ce n’est pas le Jésus de la Bible, c’est du blasphème », s’émeut la septuagénaire.

Plus de 100.000 personnes ont signé une pétition en ligne intitulée « Dites non au défilé de Mangueira », lancée par l’Institut Plinio Correa de Oliveira, un groupe catholique conservateur.

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Les jours gras au Lamentin

Manifestations des jours gras du carnaval 2020 du Lamentin sur le thème « Lam’ Eko » du dimanche 23 au mercredi 26 février aux rythmes des orchestres lamentinois Sa Ki Fèt Fèt, A Sou Yo, Petrol Band, Madjika Zwel, Ti Kadans, Cé Nou Mem et Nou Pa Sav.

Au programme :

– Dimanche Gras 23 février
+ de 14h à 17h sur la place de l’hôtel de ville : « makillaj ba tout moun » (gratuit)
+ de 15h à 16h30 : vidé « ti manmay » avec les travestis réalisés par les enfants et les animatrices de la Caisse des Ecoles et la participation orchestres de rues des écoles
+ de 15h à 18h : parade « multikolor » dans les rues du centre-ville

– Lundi Gras 24 février de 15h à 18h : parade « multikolor » et mariages burlesques dans les rues du centre-ville

– Mardi Gras 25 février
+ 4h du matin : « Jou ouvè », vidé en pyjama dans les rues du centre-ville et des environs suivi du traditionnel « ti nain morue » organisé par l’association Sa Ki Fèt Fèt sur la place du Calebassier
+ de 14h à 17h sur la place de l’hôtel de ville : « makillaj ba tout moun » (gratuit)
+ de 15h à 18h : parade en rouge dans les rues du centre-ville

– Mercredi des Cendres 26 février de 15h à 18h : parade en noir et blanc dans les rues du centre-ville et incinération de Vaval à Mahault

Le circuit : Départ rue Victor Schœlcher – rue Pierre Zobda Quitman – rue Léonce Bayardin – rue Ernest Maugée – rue Hardy de Saint Omer – rue des Barrières prolongée – rue Ernest André – rue Victor Schœlcher – rue Raphael Elizé – Place du Calebassier.

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Le Lamentin: carnaval 2020, les 7, 8 et 9 février

La Ville du Lamentin et l’Office de la Culture vous invitent à participer nombreux aux manifestations du carnaval du vendredi 7, samedi 8 et dimanche 9 février 2020. Au programme :

 – Vendredi 7 février

+ de 18h à 22h en plein air sur la place André Aliker (place de l’église) : conférence sur « l’origine des orchestres de rues lamentinois » avec en conférencier Romuald Sainte-Rose, membre fondateur du groupe Balan et le témoignage du guadeloupéen Freddy Marshall. Invités : Nico Gernet, membre et fondateur de Tanbou Bô Kannal, et, Michel Galva, membre et fondateur de Plastic System Band

+ de 18h à 22h : suite de « Média Vidé », la caravane de prévention et d’information des médiateurs de la ville organisé par l’Antenne de Justice dans les quartiers et les rues suivants : Rue Gueydon, Calebassier, Bourg, Petit Manoir (Belle Créole), Bas Mission, Four à Chaux

 

Samedi 8 février à 19h à la place Mahault : « Kalbas cho », 2ème édition du show inédit et innovant réunissant les orchestres de rues du Lamentin. Sa Ki Fèt Fèt, A Sou Yo, Petrol Band, Madjika Zwel, Ti Kadans, Cé Nou Mem et Nou Pa Sav proposeront un véritable show visuel haut en couleurs, son et lumière.

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Programme du Carnaval 2020 du Lamentin

Du 11 janvier au 26 février 2020

– Samedi 11 janvier de 19h à 22h : « Marche Sportive » de 13 kilomètres de Nou Pa Sav dans les rues du centre-ville et des quartiers environnants. Départ et arrivée place du Calebassier

– Samedi 18 janvier de 16h à 19h à Sarrault : parade de quartier « Sarrault Vidé » organisée par le Foyer Rural de Sarrault

– Dimanche 19 janvier de 15h à 18h dans les rues de Bas-Mission et des environs : parade de quartier « Bas-Mission Carnival » organisée par l’association BMC

– Jeudi 23 janvier à 19h au centre culturel de Petit- Bambou au Morne Pitault : projection de « vidé », film documentaire sur le carnaval de Martinique

– Du vendredi 24 janvier au jeudi 19 février de 18h à 22h dans les quartiers : « Média Vidé », caravane de prévention et d’information des médiateurs de la ville organisé par l’Antenne de Justice

+ vendredi 24 janvier : Bois d’Inde, Bwa Santal, Long pré (station), La Maugée, Bélème

+ vendredi 31 janvier : Le Lauréat, Le Gange, Morne Pavillon, Basse Gondeau

+ vendredi 7 février : Rue Gueydon, Calebassier, Bourg, Petit Manoir (Belle Créole), Bas Mission, Four à Chaux

+ jeudi 14 février : Plaisance, Pelletier

+ mercredi 19 février : Place d’Armes (Mamain, Hibiscus, Les Roseaux, …)

– Samedi 1er février de 15h à 18h à Basse-Gondeau : parade de quartier « Vibrasyon Basse Gondeau » organisée par l’association Tchè Kampech

– Vendredi 7 février à 18h au centre culturel du bourg : conférence sur l’histoire des orchestres de rues du Lamentin

– Samedi 8 février à 19h à la place Mahault : « Kalbas cho », show inédit et innovant réunissant les orchestres de rues du Lamentin.

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Les musées de Martinique

Basse-Pointe
  • Musée des figurines végétales

Le Carbet

  • Galerie d’histoire et de la mer
  • Musée Paul Gauguin

Le Diamant

  • La Maison du Bagnard

Fort-de-France

  • Musée départemental d’archéologie précolombienne (Musée de France)
    Musée départemental d’archéologie précolombienne Fort-de-France
    « Collection d’archéologie précolombienne »
    Le musée d’archéologie précolombienne et de préhistoire propose une collection d’archéologie précolombienne qui retrace environ 4000 ans d’histoire amérindienne de l’île
    Depuis 1970, le musée conserve le patrimoine archéologique le plus ancien et le plus diversifié des Petites Antilles. À travers ses six salles thématiques, le musée expose en images, en sons, en mots et en objets précieux, toute la richesse des Civilisations Amérindiennes.
    Horaires: Lundi : 13h – 17h / mardi au vendredi : 8h-17h / samedi : 9h-12h
    Musée Départemental d’Archéologie, 9 rue de la Liberté, Fort-de-France, 0596 71 57 05
  • Muséum d’histoire naturelle (Musée de France)
  • Réserve du père Pinchon (Musée de France)
  • Musée régional d’histoire et d’ethnographie de Martinique (Musée de France)

Musée du Père Pinchon
«Biographie du Père Pinchon »
« Le Milieu Marin »
« Les 3 milieux Bioclimatiques en Martinique »
«Les reptiles amphibiens de Martinique »
« La collection d’insectes du Père Pinchon »
« La Féerie des récifs coraliens »
Ateliers & jeux sur la faune, flore, biodiversité.

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Mémorial de la catastrophe de 1902 – Musée Frank A. Perret

169, rue Victor Hugo Saint-Pierre. Photo : Jean-Baptiste Barret

Le Mémorial de la catastrophe de 1902 – Musée Frank A. Perret est un musée de la ville de Saint-Pierre, bénéficiant de l’appellation Musée de France et géré depuis décembre 2018 par la Fondation Clément dans le cadre d’une délégation de service public.
La collection présentée dans l’exposition permanente du Mémorial de la Catastrophe de 1902 – Musée Frank A. Perret témoigne des éruptions de la montagne Pelée et de la destruction de la ville de Saint-Pierre.

Ce lieu a été pensé pour répondre aux attentes de publics diversifiés, pour favoriser la construction d’un patrimoine commun en apportant informations et connaissances en étant en prise directe avec une recherche en construction. Il se veut un lieu d’ancrage mémoriel et un instrument de rayonnement culturel en s’adressant d’abord à l’humanité de chacun des visiteurs et en valorisant une histoire et une mémoire partagée, ouverte sur le monde. Il contribue par sa qualité architecturale et par les ambitions d’une muséographie à la signature contemporaine au rayonnement de la Ville d’art et d’histoire.
L’HISTOIRE
Dès son arrivée Frank A.

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L’habitation Pécoul

Classée au titre des monuments historiques en 1996
Basse-Pointe
Sur la RN1, avant l’entrée du bourg de Basse-Pointe à 2 km après le rond-point des RN1-RN3. Photo : Gerard Germain

Avec sa maison principale, ses dépendances domestiques, ses équipements industriels et ses aménagements paysagers, l’habitation Pécoul forme aujourd’hui un ensemble harmonieux, témoin d’une histoire de plus de trois siècles. Elle n’est pas la reconstitution mimétique d’un état antérieur à un moment donné mais l’aboutissement d’une longue histoire qui a vu la construction, la transformation, la démolition et la restauration des différents bâtiments.
C’est cette superposition d’histoires architecturales et humaines que la Fondation Clément tente de conserver avec le projet patrimonial entrepris depuis 2001.
Sucrerie traditionnelle jusqu’au 19e siècle, l’habitation se modernise avec l’arrivée de la vapeur toutefois rendue obsolète avec la construction des grandes usines centrales.
Une distillerie agricole prend sa place à la fin du 19e siècle jusque dans les années 1950 où la culture de la banane assure une nouvelle prospérité à l’habitation. L’habitation doit son nom à la famille Pécoul, propriétaire depuis 1801 et qui pendant près de deux siècles, lui donne sa forme actuelle.

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L’habitation Bellevue

Le Macouba
Sur la RD10, prendre le chemin en face du stade à l’entrée du bourg du Macouba. Photo : Marc Mesnage

Le domaine est situé sur un plateau entre la Montagne Pelée et la Distillerie J.M dont il est l’exploitation agricole. Les bâtiments industriels anciens ont été restaurés en 2018 et sa maison, reconstruite dans les années 1930, a fait l’objet d’une réhabilitation en 2016.

Bellevue est l’une des plus anciennes habitations de la commune du Macouba. Dès 1671, elle est mentionnée dans l’état général descriptif des terres de la Martinique appelé Terrier.
À la fin du 18e siècle, l’habitation devient la propriété d’Antoine Joseph Marraud de Sigalony (1733-1786). Pendant la période de troubles de la Révolution française, l’habitation change de propriétaires au gré des ventes aux enchères. Le calme rétabli, François-Dominique Desgrottes de
Montganier s’en porte acquéreur auprès de Joseph-François Pécoul en 1794. L’habitation est alors composée de 200 carrés de terre (259 ha),
cultivés en cannes et en manioc par 220 esclaves. On compte cette habitation parmi les plus importantes de l’île.
À compter de cette date, l’habitation reste aux mains de la famille Marraud des Grottes jusqu’en 1913.

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La distillerie JM

Le Macouba
Quartier Fonds-Préville. Photo : Robert Charlotte
Tout au nord de l’île, la distillerie J.M est l’une des plus anciennes de la Martinique, et l’une des dernières à vivre encore de façon quasi autarcique. Elle utilise l’eau de sa source, ses champs de canne, dans une nature luxuriante qui l’environne. Son savoir-faire artisanal se transmet de génération en génération depuis plus de 100 ans. Photo : Robert Charlotte

L’architecture s’est mise au service de l’outil industriel pour mieux l’intégrer dans une esthétique d’ensemble.
Le « fouillis » des toits de tôle brute a fait place à un élégant enchevêtrement de toits rouges dominés par l’ancienne cheminée ; de nombreux bâtiments ont été réhabilités, d’autres réinventés, et leur imbrication aléatoire organisée au plus près de la logique industrielle, en suivant pas à pas les étapes de la transformation de la canne.
La circulation est devenue claire et fluide mais le charme vernaculaire est toujours là.
Une fois ce « squelette » mis en place, chaque «organe », chaque bâtiment a été pensé dans les moindres détails en fonction de son usage spécifique, qu’il s’agisse d’un impératif industriel ou du plaisir du visiteur.

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L’habitation La Sucrerie

Inscrite au titre des monuments historiques en 2016
Les Anses-d’Arlet
À l’entrée du bourg des Anses-d’Arlet, au croisement de la D7 et de la D37. Stationnement à l’entrée du bourg.

Cette maison traditionnelle construite au sommet d’un morne a été restaurée entre 2004 et 2007 pour en faire une résidence adaptée au mode de vie contemporain tout en conservant ses caractéristiques patrimoniales. Photo : Gérard Germain

La première mention connue de la maison est un acte notarié de 1777. Sa volumétrie correspond alors au salon central et à la galerie côté montagne (au vent).
La galerie côté mer et l’étage sont ajoutés plus tard, vraisemblablement autour de 1840. Dans la seconde moitié du 20e siècle, la maison qui a une fonction de résidence secondaire n’est pas modernisée. Lors de son rachat au début des années 2000, elle est à l’état de ruine après avoir été abandonnée durant de longues années.
Une campagne de restauration est entreprise entre 2004 et 2007 sous la direction de Christophe Charlery, architecte du patrimoine, avec l’objectif d’en faire une résidence confortable et adaptée au mode de vie contemporain en conservant ses caractéristiques patrimoniales.

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Habitation Saint-Étienne

Au détour d’une route bordée de végétation luxuriante, s’élève majestueusement l’habitation Saint-Étienne inscrite en 2006 à l’ISMH. Traversée par la rivière Lézarde, entre Saint-Joseph et le Gros Morne, elle s’inscrit dans un paysage typique du nord de l’île. L’Habitation fut édifiée sur les terres de La Maugée, une ancienne sucrerie, qui s’étendait au début du XIXème siècle sur plus de 400 hectares. La maison de maitre domine la distillerie et les anciennes cases de travailleurs. Visite des jardins, riches d’une collection de 180 espèces d’essences et d’arbres rares du monde entier, qui se sont vus décerner en 2015 le label « Jardin remarquable ». Découverte de la chaine d’embouteillage des rhums HSE et de la salle « Les Foudres HSE », lieu d’expositions et de dégustation de sa gamme.

« Les Foudres HSE », lieu d’expositions et de dégustation de sa gamme.
Informations utiles: Horaires, prix, …
Téléphone: 05 96 57 62 68
Horaires d’ouverture: Lun-Ven 9h00-12h30 et 13h00-16h00
Prix de la visite: Entrée et dégustation gratuite

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L’Habitation Fond Rousseau

Rachetée, il y a peu de temps par un groupe guadeloupéen (groupe Manioukani), l’Habitation Fond Rousseau, à Schoelcher, est en pleine restructuration. Située sur la commune de Schoelcher, l’Habitation se trouve en contrebas du quartier de Terreville, au lieu-dit Case-Navire (derrière la piscine municipale). Elle est au bord de la rivière qui porte le même nom.

Une Habitation du XVIIe siècle

On date les premières constructions au XVIIe siècle. Ce n’étaient alors que des abris précaires inspirés des carbets et ajoupas.
La maison de maître que l’on voit aujourd’hui, n’est pas celle d’origine, mais elle a été reconstruite sur les fondations de la dernière en date. A ses côtés, des dépendances. Et elles sont nombreuses : la maison du géreur, la cuisine, le garage où l’on garait les calèches, la maison des domestiques, les cases des travailleurs, les magasins (stockage), les chais, etc. Et l’usine et son four à charbon de bois. Car on y a fabriqué jusqu’au début du XXe siècle du rhum. Les visiteurs apprécieront les deux roues faisant fonctionner l’usine. La première, une roue à aubes, la seconde, une roue actionnée par la chaudière et le générateur de vapeur.

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