D’actes manqués en MACTe loupé, voici Ary Chalus qui mate et saute comme « chal’prènè », dans une belote aussi menteuse que peut l’être un poker. L’État étant son partenaire, nostr’homme exhibe son statut de valet comme une carte maîtresse, mais il n’a rien d’autre en main que « féyaj . » Pas un conseiller autour pour calmer ses ardeurs de Fouquier-Tinville à la noix. Quelle tique l’a donc piqué ?
Et le coq gaulois « cocoricomane, » qui voudrait incarner la bonne image de l’État se fait gauler par tout observateur averti en flagrant délit de déraison d’État. Un État qui, de la Place Beauvau à Paris, donne une image plutôt débilement franchouillarde du genre « ami des noirs », avec des coups de langue qui disent tout le contraire. Quand la France apprendra-t-elle à faire profil bas quand il n’y a pas de quoi entonner fièrement La Marseillaise ?
L’État français passerait aux caprices d’un élu immature qui casse son joujou, pour le plaisir de se croire chef d’une boutique de babioles. En même temps pour daigner entendre et respecter un tant soit peu l’aspiration des guadeloupéens à un minimum de souveraineté il faut des années, d’interminables années.