Quatre mille huit cent mois de confinement forcé,
Quatre mille huit cent mois de privation de la liberté
Quatre cents ans d’incarcération de la dignité humaine.
— Par Pierre Pastel, Sociologue/Psychothérapeute —
Sous le regard bienveillant de nos ancêtres jadis confinés en esclavage, l’auteur nous convie à leur rendre hommage en mettant en lumière quelques-unes des recommandations qu’ils nous ont laissées en héritage afin que nous sachions, aujourd’hui, nous faire architectes d’un rapport nouveau entre les humains, comme eux ont su le faire contre la fourberie mercantiliste de toute une civilisation à leur égard. 1
Chers vous, ancêtres, qui avez été dépouillés de votre dignité d’humains et qui nous regardez avec bienveillance. RESPECT A VOUS !
Chers vous tous, contemporains de notre planète, présents, ici, avec nous par la puissance de la pensée pour cette commémoration et cet hommage,
Mesdames, Messieurs,
Aujourd’hui nous célébrons la LIBERTE et le dé-confinement des consciences.
Il est important de se dire, que si le contexte est problématique, nous savons et nous saurons tout de même trouver les moyens de partager ce moment commémoratif avec toute la nation, parce que ce geste de mémoire fondamental est un acte de reconstruction de la civilisation.