Paris – La France comptait fin 2019 16,7 millions de retraités, qui percevaient une pension moyenne de 1.393 euros net par mois, selon une étude publiée jeudi par le service statistique des ministères sociaux (Drees).
Les effectifs de retraités « de droit direct » (hors pensions de réversion) des régimes français ont augmenté de 1,8% par rapport à fin 2018, soit 301.000 personnes de plus, une hausse « dans la tendance des dernières années« , indique la Drees dans ce panorama annuel de la retraite en France.
En 2019, les nouveaux retraités, qui ont liquidé pour la première fois un « droit direct » en mettant fin à leur carrière, étaient un peu moins nombreux qu’en 2018 (720.000 contre 749.000).
En incluant les retraités dits « de droits dérivés« , qui touchent des pensions de réversion, le nombre total de retraités tous régimes confondus est de 17,8 millions de personnes.
La pension moyenne tous régimes confondus s’établit à 1.503 euros brut mensuels en décembre 2019 pour les retraités de droit direct résidant en France (1.924 euros pour les hommes et 1.145 pour les femmes).


Victor Shœlcher et l’esclave Romain, la République française et la population antillaise y ont œuvré… Voici comment l’esclavage a été aboli en Martinique en 1848.
La Croix Rouge compte sur tous pour financer ses actions sociales
À la suite de son expérimentation dans l’Oise, le déploiement de la nouvelle carte nationale d’identité se poursuit dans de nouveaux départements à compter du lundi 17 mai 2021. Quand votre département sera-t-il concerné par la délivrance de cette carte au format carte bancaire (comme le nouveau permis de conduire) ? Un arrêté paru au
À celles et ceux qui, / Innombrablement innombrables, / Ne comprennent pas grand-chose, / Ni à la non-ouverture de certains théâtres, / Ni aux mouvements de contestation qui les occupent, / Ni à ce qui les oppose, / Ni à ce qui les relie.
Amsterdam – Des fers à entraver les chevilles d’un esclave aux côtés du portrait d’un couple de notables amstellodamois enrichi grâce à l’esclavage : une exposition inédite consacrée au passé colonial des Pays-Bas s’ouvre mardi à Amsterdam.
Le collectif La Friche [
— Propos recueillis par Youness Bousenna —
Je ne peux m’empêcher d’observer qu’il y en a tout de même. Il suffit de considérer le trafic routier.
Le Mémorial ACTe ou « Centre caribéen d’expressions et de mémoire de la Traite et de l’Esclavage » est un mémorial. Il est situé dans la rade du port de Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe, sur le site de l’ancienne usine sucrière Darboussier.
Placetas (Cuba) – A Cuba, le carrossier Pablo Manso s’est fait connaître en visant un créneau bien spécifique : les Chevrolet de 1955, 1956 et 1957, dont il reproduit les pièces d’origine avec des machines qu’il a lui-même fabriquées ou personnalisées. 
Paris – On l’associait autrefois aux draps sortis du placard de grand-mère. Rustique, gothique ou raffiné, le lin envahit les podiums et s’expose au musée comme un symbole du luxe moderne, plébiscité pour ses propriétés écoresponsables.
Une équipe de chercheurs du CNRS a publié la liste des bénéficiaires des indemnisations décidées par la IIe République à la suite de l’abolition de l’esclavage de 1848.
Faut-il être Noire pour traduire un poème écrit par un Noire ? Faut-il être arabe pour traduire un texte écrit par un arabe ? Faut-il être Algérien pour traduire l’œuvre d’un auteur algérien ? Ces questions font actuellement débat en raison de la polémique autour de la traduction en néerlandais du poème d’Amanda Gorman. Pour mémoire, cette jeune Afro-américaine avait fait sensation dans le monde entier en lisant son texte, The Hill We Climb, (La colline que nous gravissons) lors de la cérémonie d’investiture du président américain Joseph Biden en janvier dernier.
Ce lundi 3 mai, l’Unesco célèbre la Journée mondiale de la liberté de la presse, destinée à la protection des journalistes. Face à la montée des attaques contre les médias et les journalistes dans l’exercice de leur fonction, le Club Presse Martinique rappelle les principes indissociables de la démocratie.
Alors que le taux de personnes vaccinées contre le covid-19 est en passe d’atteindre 25% en France, le taux en Martinique est d’environ 8%, or on connait l’importance de la vaccination pour l’éradication du virus. Bien entendu, et cela est normal, chacun exerce sa liberté de se faire vacciner ou pas. Mais on ne peut pas en même temps se plaindre des conséquences contraignantes et désastreuses de la circulation du virus et tenir un discours contestataire contre les mesures qui visent à se débarrasser de ce virus extrêmement contaminant.
— Par Christine Mateus —
Paris – Vingt ans après la loi Taubira reconnaissant l’esclavage comme crime contre l’humanité, le climat s’est « polarisé » et « radicalisé », déplore le président de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage Jean-Marc Ayrault, qui appelle à tenir bon face aux « faux débats » et à la « négation ».
Depuis le 1er janvier 2018, la France est passée de 3 à 11 vaccins obligatoires pour la population générale. Le but de cette mesure était d’augmenter la proportion de la population protégée contre les maladies infantiles. Mais il s’agissait aussi de « restaurer la confiance dans les vaccins » en rappelant aux Français leur devoir de participer à la protection collective contre la circulation des virus (immunité dite « de troupeau »). Cette problématique est devenue saillante pour les autorités de santé françaises depuis 2009. Ainsi, un premier événement médiatique a émergé à la toute fin des années 1990 autour d’un supposé lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la survenue de cas de sclérose en plaques. Mais les controverses vaccinales se sont multipliées et ont gagné en visibilité à partir de la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) en 2009-2010. Cette campagne s’est soldée par un échec cuisant avec seulement 8 % de la population vaccinée pour un objectif de couverture de 70 % de la population. Depuis, des débats ont émergé dans les médias d’information générale sur l’usage d’aluminium comme adjuvant dans de nombreux vaccins (depuis 2010), sur la sécurité du vaccin contre les papillomavirus (depuis 2011), sur la pénurie de vaccins ne couvrant que les trois immunisations obligatoires (diphtérie-tétanos-poliomyélite) et sur les obligations vaccinales.