Clément Viktorovitch revient chaque semaine sur les débats et les enjeux politiques. Le débat sur la réforme des retraites avec les notions de « valeur travail » et de « droit à la paresse ».
À l’occasion de la réforme des retraites, émerge en filigrane un autre débat, celui qui oppose « valeur travail « et « droit à la paresse ». Il est urgent de sortir de cette alternative. C’est un débat mortifère parce qu’il a été posé n’importe comment, mais qui nous confronte malgré tout, à des questions fondamentales. Tout cela est parti d’une déclaration de Sandrine Rousseau en septembre dernier, sur franceinfo contre Fabien Roussel, qui critiquait « la gauche des allocations », elle revendiquait au contraire « le droit à la paresse ». À l’époque, cela avait créé une vive controverse… controverse qui ressurgit, aujourd’hui, avec la réforme des retraites. Le week-end dernier, dans Le Parisien, Gérald Darmanin a fustigé « le gauchisme paresse et bobo », auquel il oppose « les belles valeurs du travail, de l’effort, et du mérite. »
Revendiquer la « paresse », n’est-ce pas un peu étonnant de la part d’une responsable politique ?

La Sécurité routière appelle les hommes à prendre conscience qu’en voiture, moto, vélo et même à pied, à kilomètres parcourus équivalents, ils se tuent considérablement plus que les femmes.
Un collectif demande « la création d’un lieu de mémoire et d’une commission vérité et réconciliation pour lever le voile sur cette histoire taboue » à propos des ‘homes’, internats religieux dans lesquels des enfants amérindiens sont placés depuis près d’un siècle.
L’association des amis du général Dumas et
Le nombre de personnes sans domicile en France a plus que doublé en dix ans, selon la Fondation Abbé Pierre, qui évalue leur nombre à environ 330 000 dans son rapport annuel présenté mercredi. Sans abri, en hébergement d’urgence ou en centre pour demandeurs d’asile, les personnes sans domicile ont vu leur nombre augmenter de près de 130 % depuis 2012, date de la dernière étude de l’Insee à ce sujet, estime la fondation.

Gina Lollobrigida est une actrice et photographe italienne, née le 4 juillet 1927 à Subiaco et morte le 16 janvier 2023 à Rome.
C’était l’une des légendes du rock. Le guitariste Jeff Beck, devenu célèbre avec The Yardbirds, groupe de rock des années 1960, est mort mardi 10 janvier à l’âge de 78 ans, a annoncé sa famille mercredi soir dans un communiqué. « Après avoir soudainement contracté une méningite bactérienne, il est décédé paisiblement », est-il également expliqué sur le compte Twitter du musicien.
Figure incontournable de la littérature américaine contemporaine et fin observateur de l’Amérique des déclassés, le romancier Russell Banks, né le 28 mars 1940 à Newton dans le Massachusetts est mort le 7 janvier 2023 à Saratoga Springs (État de New York). Il avait 82 ans. Son œuvre est traduite en vingt langues.

L’ancien arbitre était parmi ces privilégiés qui avaient pu assister à la rencontre historique entre le Santos F.C et la sélection de la Martinique. Plusieurs points avaient retenu son attention, qu’il essaiera de restituer sommairement sur ce papier.
♦ 59% des Martiniquais sur dix écoutent de la musique tous les jours
Il vaut mieux avoir de l’avenir que du passé.
Quid de l’histoire méconnue de la plus grande civilisation de tous les temps qui était noire , et qui ait jamais existé sur terre ?
— Par Robert Berrouët-Oriol, l
Le père Noël est un personnage fictif lié à la fête de Noël mais dont les racines remontent à des croyances antiques. Il est parfois associé à
Connu pour son œuvre gravée, souvent monumentale, Franz Gertsch, artiste suisse qui avait réalisé des portraits de la rockeuse américaine Patti Smith, est décédé à l’âge de 92 ans, a annoncé jeudi le musée qui porte son nom.
Plusieurs centaines de militaires ont été mobilisées pendant sept semaines en Guyane pour une opération de lutte contre l’
Nelly Pons, écrivaine et essayiste, autrice de « Océan plastique » et « Débuter son potager en permaculture », a répondu aux questions de WE DEMAIN sur l’urgence climatique.
« Le Monde » publie l’intégralité du discours prononcé, samedi 10 décembre à Oslo, par Oleksandra Matviichuk, présidente du Centre pour les libertés civiles, ONG ukrainienne, lors de la remise du prix Nobel de la paix, également attribué au militant biélorusse Ales Bialiatski et à l’ONG russe Memorial.
Que l’on attribue la modestie de cet hommage non pas aux dimensions de l’homme, ni aux limites de mon admiration pour lui, mais aux bornes de mes propres capacités !