Catégorie : Parutions

Sciences sociales: nouveautés du 4 octobre 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Docteur Didier Raoult, toujours sur le ring…

Didier Raoult publie un nouvel ouvrage : « La science est un sport de combat », dans lequel il nous livre sa conception de la science et de la médecine

Selon Noam Chomsky, « Le langage est une arme de politiciens, mais le langage est une arme dans la plupart des affaires humaines ». Si Didier Raoult se défend jusqu’alors être un homme politique, beaucoup ont découvert depuis la crise du Covid à quel point il sait aussi utiliser les mots, pour dire sans ambages le fond de sa pensée. Ainsi, « Le confinement, les masques ce sont des décisions politiques », déclarait-il au mois de juin. Une position qu’il a précisée en septembre, prenant cette fois des précautions et des réserves plus évidentes, et dont il n’est  pas forcément coutumier, sur le site de L’Indépendant .

Des avis partagés

COVID : « Trop d’affolement, trop de panique », juge aujourd’hui Didier Raoult. Invité sur les ondes de  RTL, l’infectiologue a critiqué les « messages alarmistes » de ses collègues alors que de nouvelles restrictions ont été prises à Marseille.

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Sciences sociales : nouveautés du 27 septembre 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Alain Mabanckou : « Le racisme n’est qu’un département de la lutte des classes »

Entretien. L’écrivain franco-congolais publie Rumeurs d’Amérique, un essai vagabond dans lequel il explore les États-Unis qu’il connaît, en sa qualité de professeur de littérature francophone, depuis de nombreuses années, à la prestigieuse université de Californie. Il y est question de la condition des Noirs, de son statut d’étranger de couleur, qui évolue dans un milieu d’intellectuels, et de beaucoup d’autres choses encore…

Alain Mabanckou, à la tête d’une œuvre considérable, où le roman côtoie l’essai et la poésie, est l’auteur, entre autres, de Verre cassé, Demain j’aurai 20 ans et  le Sanglot de l’homme noir. Titulaire de nombreuses récompenses littéraires (en 2006, le prix Renaudot pour Mémoires de porc-épic), il est professeur de littérature francophone à l’université de Californie. Il publie Rumeurs d’Amérique, aux éditions Plon.

Ce livre a l’allure d’un essai itinérant composé comme un journal de bord…

Alain Mabanckou Je retiens la formule de « journal de bord ». Je voulais passer d’un sujet sérieux à un sujet léger, d’un sujet complexe à un autre, inextricable. Ce livre part de l’Amérique et s’y termine, avec des bifurcations en Europe (en France) et en Afrique, afin de cerner les contours de mon parcours tricontinental.

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Sciences sociales : nouveautés du 20 septembre 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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« Les silencieux », nouvel essai d’Éric Delbecque : une lecture de salubrité publique à l’heure du procès des attentats de janvier 2015

Cet expert en sécurité, qui fût le responsable de la sûreté de Charlie Hebdo après les attentats, est aussi l’auteur de nombreux essais. D’une écriture claire qui exprime une pensée qui ne l’est pas moins, il remet les points sur les i du djihadisme dans son dernier essai. 

Un silencieux, c’est ce petit cylindre que l’on visse sur le canon d’une arme pour en atténuer le bruit lorsque l’on tire. « Les silencieux », pour Éric Delbecque, ce sont ces salafistes dits « quiétistes » et « politiques » qui endorment et émoussent notre vigilance, en ne suscitant à chaque franchissement de ligne démocratique et républicaine qu’une réaction de basse intensité de notre société. Dès les premières lignes, l’auteur a le mérite d’énoncer clairement son postulat : la lutte contre le terrorisme n’est rien, si l’on n’en comprend pas les mécanismes de la genèse, autrement dit si l’on ne combat pas l’idéologie qui y mène. Les silencieux, d’Eric Delbecque, est publié le 27 août 2020 aux éditions Plon (384 pages, 21€).

Expert en sécurité (il fût le responsable de la sûreté de Charlie Hebdo après les attentats), Eric Delbecque n’a pas oublié les classiques.

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Josette Coras : Chemins de traverse. Carnets d’une artiste buissonnière

Josette Coras (1926-2008) nait dans une famille jurassienne bourgeoise ouverte aux arts. Très tôt elle fait preuve d’une grande activité créatrice, décide de devenir dessinatrice et commence parallèlement à écrire. L’après-guerre la trouve à Paris où elle fréquente l’atelier de la Grande Chaumière et se forme à la gravure à l’École Estienne.

En 1950, de retour dans le Jura, elle achète le logis abbatial de l’abbaye de Baume-les-Messieurs qu’elle restaure et ouvre à ses amis artistes et artisans, parmi lesquels le groupe des Annonciades, organisant chaque année une exposition.

En perpétuelle recherche elle multiplie les techniques : dessin, peinture, papier déchiré, décor sur faïence et enfin gravure dont elle tire de poétiques statues.

Pendant 50 ans elle arpente la reculée et les paysages environnants, sources d’inspiration et de réflexions.

Le livre : Chemins de traverse Carnets d’une artiste buissonnière

Dominique Daeschler et Sylvie Roy Lebreton ont travaillé pendant plus de trois ans sur une partie du journal de l’artiste, écrit sur des cahiers d’écolier pendant une quarantaine d’années. La qualité d’écriture qu’elles ont découverte les a convaincues d’en faire un livre, en choisissant de extraits réunis de façon thématique.

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Sciences sociales: nouveautés du 13 septembre 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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« Toussaint Louverture », une biographie de Sudhir Hazareesingh

L’épopée de Toussaint Louverture commence par une révolte d’esclaves à Saint-Domingue en 1791 et culmine avec la proclamation du premier État noir indépendant de l’histoire en 1804. Après l’abolition de l’esclavage par la Révolution française en 1794, Toussaint devient le principal personnage politique et militaire de la colonie et prend le titre de « gouverneur général à vie » en 1801. Profondément attaché aux valeurs républicaines d’égalité et de fraternité, il lutte farouchement contre toute tentative de réimposer l’esclavage à Saint-Domingue. Doté d’un sens politique exceptionnel et d’une endurance à toute épreuve, Toussaint s’appuie aussi bien sur la population noire et l’armée que sur l’élite blanche et l’Église catholique. Jusqu’à sa chute face aux troupes envoyées par Bonaparte, qui saluera les qualités de ce rival hors du commun. Puisant dans de nombreuses archives inédites – et notamment dans la correspondance de Toussaint –, Sudhir Hazareesingh retrace chaque étape de cette vie extraordinaire, des victoires contre les troupes françaises, espagnoles et britanniques à la promulgation d’une Constitution autonome, en passant par des stratégies diplomatiques innovantes. On y découvre un visionnaire intrépide qui s’inspire des idéaux des Lumières et des traditions révolutionnaires et spirituelles de Saint-Domingue.

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Sciences sociales : parutions du mois d’août 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales : nouveautés du 6 septembre 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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« Flic », une enquête de Valentin Gendrot, en librairie

— Communiqué de l’éditeur—

Aujourd’hui, jeudi 3 septembre 2020, paraît en librairie notre “projet secret”.

Depuis deux ans, afin de garantir sa publication, nous l’appelons ainsi entre nous. Pourquoi ? Car nous avons dû prendre certaines précautions inhabituelles : imprimer ce livre à l’étranger pour plus de discrétion, inviter les journalistes à lire le manuscrit dans le huis-clos du cabinet de notre avocat et, bien sûr, tenir notre langue.

Voici donc “Flic”, l’histoire vraie d’un journaliste qui, durant deux longues années, a infiltré la police française. Jamais personne n’avait tenté – et réussi – un tel exploit.

Que se passe-t-il derrière les murs d’un commissariat ? Pour répondre à cette question, Valentin Gendrot a mis sa vie entre parenthèses. Il a suivi la formation de l’école de police de Saint-Malo et a fini par atteindre son objectif : devenir policier dans un quartier populaire parisien. 

Durant six mois, Valentin Gendrot a intégré le commissariat du 19e arrondissement de Paris. Une arme à la ceinture, le journaliste sous couverture a rejoint une brigade dont certains membres tutoient, insultent et distribuent régulièrement des coups à des jeunes hommes noirs, d’origine arabe ou migrants qu’ils surnomment “les bâtards”.

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Rencontre littéraire avec Edmond Mondésir autour du « Gai savoir » de Nietzsche

Dimanche 30 août 2020 de 11 h à 16 h à Basse-Pointe.

Au centre Culturel Antoine Tangamen, ancienne habitation Gradis : première présentation au public de l’ouvrage d’Edmond MONDÉSIR,

Ombres et lumières de la pensée moderne / Vérité et illusion du Gai Savoir de NIETZSCHE

avec la participation de l’auteur et des premiers lecteurs :

Joël DONGUÉ, professeur de philosophie,
Suzanne DRACIUS, romancière, poète, dramaturge, directrice de la collection Campus chez Idem éditions.

Débat et échanges à partir de 11 h jusqu’à 16 h.

(Entrée libre et gratuite.)

Notre époque est particulièrement marquée par le progrès des sciences et des techniques, pourtant elle est toujours traversée par une extrême diversité de pensées qui cherchent, au-delà des rapports utilitaires que nous avons avec les choses, des réponses sur le sens de notre existence. Qu’il s’agisse des idéologies sociales, environnementales ou politiques, qu’il s’agisse des formes de spiritualité occidentales, orientales, traditionalistes ou humanistes c’est la même préoccupation que nous retrouvons. C’est en ce sens qu’on pourrait sans grand risque les qualifier de préoccupations métaphysiques. Or précisément, toute la réflexion philosophique de Nietzsche a été élaborée autour du projet de déconstruction de la métaphysique, qu’il a mis en œuvre, sous des formes originales, dans ses écrits.

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Des plumes antillaises pour 4 métalivres

Avec quatre nouveautés pour la Rentrée Littéraire 2020, les éditions Idem proposent aux lecteurs quatre métalivres, c’est-à-dire des livres qui parlent d’autres livres, soit d’idéologie marxiste (avec Antonio Gramsci, ouvrage collectif où se retrouvent des contributions de Philippe Pierre-Charles, Danielle Marceline, pour ne citer que les plus connus chez nous), soit des canons de la littérature créole et du conte (avec l’essai et le roman de Jean-Georges Chali, dans le même livre), soit une introduction à la philosophie de Nietzsche à travers son livre Le Gai Savoir (par Edmond Mondésir : Ombres et lumières de la pensée moderne/ Vérité et illusions du Gai Savoir), et enfin l’ouvrage coordonné par Suzanne Dracius, où elle convie amie (Isabella Donaldo-Eustache) et poètes (Max Ponte, Giovanni Dotoli, universitaire à la Sorbonne et Bari) à raconter le drame vécu du confinement en Italie, premier pays d’Europe à avoir été touché par la pandémie, avec un clin d’œil aux auteurs de la Renaissance italienne : Dante, Pétrarque et Boccace.

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À propos des langues d’Outre-Mer

— par Inès de Rousiers, le 16 juillet 2020, sur Le Portail des Outre-mer —

À l’occasion des vingt ans du rapport de Bernard Cerquiglini, intitulé Les langues de la France¹, la revue universitaire Glottopol (revue de sociolinguistique en ligne) a publié un dossier sur les langues régionales françaises. Véronique Bertile², juriste réunionnaise, y a signé un article sur le statut juridique des langues dans les Outre-mer.

Amoureuse passionnée des langues, Véronique Bertile (Maître de conférences en droit public, Université de Bordeaux) est tombée toute jeune dans la marmite de la diversité linguistique française. Née à La Réunion, elle a toujours connu deux langues : le créole réunionnais et le français. L’une est sa langue de cœur, l’autre celle de la sphère publique, intimement liée à la réussite sociale. Selon la juriste, les langues utilisées couramment en Outre-mer sont boudées par une France qui ne reconnaît qu’à demi-mot sa diversité linguistique. Une situation génératrice d’inégalités sociales.

Entretien : « Il faut arrêter avec le mythe d’une France unilingue »

►Quel rapport entretenez-vous avec les langues parlées en Outre-mer ?

Mon intérêt pour ces langues vient du croisement entre mon histoire personnelle et mes recherches.

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Sciences sociales : nouveautés du 2 août 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales : nouveautés du 26 juillet 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Avant toutes choses. Enquête sur les discours d’origine. De Pascal Nouvel

Il n’est pas de société humaine qui n’ait soulevé la question de ses origines. Notre propre culture ne fait pas exception. Mieux : elle se singularise par la pluralité des discours d’origine qui y circulent. Véritable originologie, la présente enquête identifie quatre types de discours d’origine : les discours mythiques (comme la Genèse) ; les discours rationnels (de Thalès à Auguste Comte) ; les discours scientifiques (Big bang, origine de la vie, origine de l’homme, etc.) ; et, enfin, les discours phénoménologiques (qui mobilisent, dans le sillage de Husserl, la notion d’« originaire »). Sont ainsi examinées les diverses façons par lesquelles il nous est donné de parler de ce qui fût avant toutes choses. Thèse dans la thèse, il est montré que c’est la biologie qui a ouvert la voie à la physique pour l’élaboration de discours d’origine de type scientifique et non l’inverse. Pascal Nouvel invite ainsi le lecteur à l’analyse détaillée de ces discours et des rapports multiples, de légitimation ou de délégitimation, qu’ils entretiennent entre eux, y compris dans leurs dimensions éthiques, sociales et politiques.

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Sciences sociales : nouveautés du 19 juillet 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales : nouveautés du 12 juillet 2020

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Essai. Julien Cohen-Lacassagne : « Les Juifs ne vivaient pas parmi les Berbères, ils étaient Berbères »

Julien Cohen-Lacassagne signe aux éditions la Fabrique « Berbères juifs. L’émergence du monothéisme en Afrique du Nord ». Il y retrace une histoire longue, loin des mythes diasporiques. 

— Entretien réalisé par Rosa Moussaoui —

Vous affirmez, en suivant les thèses de l’historien Shlomo Sand, que le judaïsme originel fut prosélyte. Quels furent, en Afrique du nord, les vecteurs de ces campagnes de conversion ?

Julien Cohen-Lacassagne : Le monothéisme juif dans le bassin méditerranéen s’est heurté au paganisme hellénique puis romain. Cet affrontement religieux et politique fut d’autant plus important que le monothéisme suppose une lutte à mort car il ne peut coexister avec une conception païenne. Le polythéisme est inclusif, il peut agréger sans limites les divinités ou les croyances qu’il rencontre ; le monothéisme est exclusif, prosélyte et idéologiquement conquérant. Les conséquences politiques sont importantes : le monothéisme suppose une centralisation forte qui cimente les communautés de manière plus rigide que le polythéisme.

Lire une présentation détaillée de l’ouvrage sur Contretemps

Vous parlez d’un culte yahviste judaïsant, un « proto-monothéisme africain ». Comment s’est-il forgé ?

Julien Cohen-Lacassagne : Progressivement émergent des figures divines qui gagnent en importance aux dépens des autres.

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Harlem Renaissances. La modernité du New Negro

Harlem dans les années 20, le quartier noir de New York, devient la Mecque du mouvement d’avant-garde « New Negro » et la capitale d’une révolution culturelle : la Harlem Renaissance. Jazz, gospel, nouvelle littérature, revendication de l’héritage africain, contestation des hiérarchies sociales et raciales bouleversent le rapport au monde et à la modernité de la société américaine. A des milliers de kilomètres de là, dans un Paris tout juste sorti de la Grande Guerre, arrive la vague noire portée par les soldats afro-américains, les musiciens noirs à Montmartre, des artistes comme Josephine Baker et des intellectuels. Paris devient un autre foyer de cette renaissance culturelle avec la passion pour l’art primitif des cubistes ou des surréalistes, la convergence d’écrivains des colonies, les artistes afro-américains fuyant le Maccarthisme, le courant littéraire de la Négritude lancé par Léopold Sedar Senghor, Aimé Césaire et Léon-Gontran Damas… L’ouvrage entend rappeler et rendre hommage à cette formidable avant-garde dont les effets se font ressentir jusqu’à nos jours, dans les revendications pour « décoloniser » l’histoire et la culture. L’écrivain-poète, ayant occupés des postes de haut fonctionnaire clés à l’Unesco, Kiflé Selassié revient sur l’héritage, lui qui a rencontré, connu et partagé le quotidien de certains grands acteurs de la Harlem Renaissance à Paris tandis que les disciples d’Alioune Diop célèbrent le soixante-dixième anniversaire de Présence africaine, une maison d’édition et une librairie, haut lieu de rencontres et de débats, en droite ligne de l’Harlem Renaissance ; tout comme le salon des soeurs Nardal où se formèrent Césaire et Senghor.

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Sciences humaines & littératures : nouveautés du 5 juillet 2020

Les sciences humaines et sociales (SHS) représentent un ensemble de disciplines étudiant divers aspects de la réalité humaine sur le plan de l’individu et sur le plan collectif, selon le système éducatif en France.
Définitions
Les sciences humaines et sociales regroupent de nombreuses disciplines qui cherchent à expliquer des phénomènes dont les explications ne relèvent pas de la biophysique, mais plutôt des influences, des faits sociaux, des autres ou de l’environnement sur les actions, comportements et attitudes humaines. Ses domaines de recherche sont nombreux, allant de la géographie à la psychologie sociale, en passant par la linguistique, la démographie, l’histoire, l’anthropologie ou la sociologie.

Actuellement, les sciences humaines et sociales peuvent converger plus ou moins avec d’autres domaines des sciences. C’est le cas avec la biologie (notamment dans le domaine de l’environnement). Certaines convergent également vers la physique et la chimie. D’autres en divergent fortement. Des champs entiers des sciences sociales font usage des mathématiques et du formalisme.

Chaque discipline des sciences humaines et sociales, a ses propres écoles de pensée et de nombreuses approches méthodologiques et théoriques. Il n’y a pas de principe universel ou une seule dénomination ; chaque champ de recherche a ses particularités.

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« Nu avec Picasso », d’Enki Bilal

Les éditions Stock publient, dans leur collection Ma nuit au musée, « la première incursion en littérature » de l’auteur et dessinateur Enki Bilal. Nu avec Picasso voit Bilal déambuler au sein de l’œuvre de Pablo Picasso, entre ses tableaux et les murs du musée qui lui est consacré, à Paris.

Quelle est cette main inconnue et surpuissante qui attrape Enki Bilal au beau milieu de la nuit et le projette sur un lit de camp ?
Quel est ce lieu mystérieux et hanté dans lequel il a atterri ?
Qui sont ces créatures, minotaure, cheval ou humains déformés, que l’artiste rencontre en essayant de trouver son chemin dans ce labyrinthe sombre et inquiétant ?
Que lui veulent-elles ? Et dans quel état sortira-t-il de cette incroyable nuit ?

Dans une déambulation hallucinée, Enki Bilal croise tant les personnages de Picasso, ses muses, ses modèles, que le grand maître lui-même et Goya, son idole. Son errance dans les couloirs du Musée Picasso prend la forme d’une rêverie éveillée qui nous fait toucher du doigt l’œuvre du peintre espagnol d’une façon sensorielle et envoûtante, pour aboutir en épiphanie à la présentation de Guernica, la grande toile du maître.

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Transmettre et Être : Fabriquer le sujet, pérenniser la société

Numéro coordonné par Max Bélaise

«En Occident comme dans toutes les civilisations, l’homme doit naître une seconde fois – naître à ce qui le dépasse, lui et ses parents». Cette pensée de Pierre Legendre est intéressante pour l’ambition que se donne ce numéro d’Archipélies: réfléchir à la question de la transmission. Elle n’est pas que théorique et ne doit pas faire l’objet que de l’attention de théoriciens des sciences humaines.
Loin s’en faut. Des artistes, des éducateurs, des politiques s’en préoccupent. Ils sont particulièrement soucieux du délitement culturel que l’absence de transmission peut provoquer. Dans ce numéro, l’intérêt des contributeurs porte sur l’un des corollaires de cet acte de transmettre: instituer le sujet dans cette «liquidité culturelle» créole. Comment transmettre des savoirs, des connaissances, afin que cet héritier du traumatisme de la violence esclavagiste soit ce sujet résilient qui résiste contre tout ce qui peut menacer sa condition d’être libre, autonome et pensant? Une ambition qui nous semble avoir toujours été portée par les clercs de ces territoires.

 Sommaire

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