Enfants et petits-enfants de Nelson Mandela ont tenu un conseil de famille mardi et prié avec l’archevêque anglican du Cap pour que l’ancien président sud-africain, toujours dans un état critique, s’éteigne en paix en «une parfaite fin» de vie. «Que ta bénédiction repose sur Madiba maintenant et à jamais. Donne lui, nous te prions, une nuit calme et une bonne, une parfaite fin», a dit le révérend Thabo Makgoba, venu soutenir la famille dans l’épreuve à la clinique de Pretoria où Mandela est hospitalisé depuis plus de deux semaines.
Le chef de l’église anglicane d’Afrique australe a prié avec Graça Machel, l’épouse de Mandela, et plusieurs de ses proches, demandant à Dieu de «donner à Madiba la guérison éternelle et le soulagement de la peine et des souffrances», selon le texte de sa prière transmise à l’AFP.
Madiba est le nom de clan affectueusement utilisé en Afrique du Sud pour désigner l’ancien chef d’Etat, icône mondiale de la réconciliation raciale.
La réponse est oui : nous sous-estimons la gravité de la situation, car ce qui se passe échappe à nos mesures.
Ce qui est en jeu, c’est le moral et la confiance . Le moral des entrepreneurs guadeloupéens , avec moins de stocks et aussi moins d’investissement, et on voit ce qui se passe avec la décélération du crédit, notamment aux petites et moyennes entreprises, le moral des ménages, et on voit la chute de la construction, et aussi le freinage de la consommation.Ce moral est essentiel, en liaison avec ce qui se passe ailleurs en France Métropolitaine , avec les impôts,avec les charges , avec le chômage. En même temps, et ceci échappe encore plus aux statistiques de l’INSEE et des analyses de conjoncture de l’IEDOM , tous les agents économiques sont plus aux aguets et réactifs que jamais et ce alors que la situation exige d’être surtout pro-actifs.